Ferrari, l'une des écuries les plus prestigieuses de l'histoire de la Formule 1, traverse une période de renouvellement stratégique. Alors qu'une nouvelle vague d'évolutions technologiques et organisationnelles s'inscrit au cœur de son projet, ses ambitions restent entières : redevenir la rivale numéro un de McLaren en 2025, tout en offrant à ses pilotes, Charles Leclerc et Lewis Hamilton, des armes dignes de la Scuderia. Plus qu'un simple récit de compétition, cette analyse approfondie va explorer les perspectives de Ferrari à travers quatre axes thématiques clés : le contexte compétitif, l'impact des dernières évolutions, le retour terrain des pilotes et les espoirs pour la seconde partie de saison.

🏁 Ferrari : Un nouvel outsider face à McLaren et Red Bull

La Ferrari de Vasseur progresse – mais ce n'est pas encore suffisant

En 2025, la dynamique de la Formule 1 se redessine. Avec la baisse de régime de Mercedes et l'extrême dépendance de Red Bull envers Max Verstappen, Ferrari se positionne en poursuivante directe de McLaren. L'équipe italienne occupe la deuxième place du championnat avec 28 points d'avance sur Red Bull, portés par les performances régulières de Charles Leclerc — auteur de cinq podiums cette année — et l'arrivée de Lewis Hamilton, figure emblématique à la motivation intacte. Cependant, Ferrari accuse toujours un écart de plus de 268 points sur la leader du classement, et le chemin pour renouer avec la victoire absolue s'annonce semé d'embûches.

La Ferrari de Vasseur progresse – mais ce n'est pas encore suffisant

L’écart de performance, requis pour rivaliser avec McLaren, exige un développement rapide et intelligent. Ferrari en est bien consciente. Pour y parvenir, l'écurie a récemment investi dans une refonte de sa suspension arrière, adoptant une géométrie revisitée et un nouvel amortisseur central. Ces évolutions techniques répondent à plusieurs problématiques structurelles apparues durant la saison, notamment la nécessité de retrouver un contrôle optimal de la plateforme et la possibilité d'exploiter des hauteurs de caisse plus basses – une évolution cruciale après la controverse du fond plat ayant touché Hamilton en Chine.

En plus de ces modifications majeures, Ferrari a par ailleurs introduit une nouvelle évolution de plancher lors du Grand Prix d’Autriche, matérialisant sa volonté de tourner la page sur les déceptions passées et de poser des fondations solides pour la suite du championnat. Ces investissements, couplés à la gestion fine des pneumatiques et au travail spécifique sur l’aéro, constituent la première pierre du renouveau tant attendu de la Scuderia.

🔧 Un regard en profondeur sur les dernières évolutions techniques

La Ferrari de Vasseur progresse – mais ce n'est pas encore suffisant

La suspension revisitée devait faire de Ferrari une écurie plus agile, capable de choisir des configurations jusque-là impossible à envisager. Désormais, la promesse d'une assise plus stable lors des freinages appuie aussi la possibilité pour les pilotes de pousser la voiture dans ses derniers retranchements, à la recherche du moindre centième. Dès la qualification à Spa, Charles Leclerc a su en tirer parti, décrochant une place devant Verstappen et ne concédant que quelques dixièmes à Lando Norris sur le circuit vallonné belge.

Leclerc demeurait lucide sur les apports immédiats : s’il ressent une différence, il souligne la modestie du gain sur un tour : « Oui, c'est une évolution dans la bonne direction, mais on parle de très fines différences sur un tour complet. » Toutefois, ce pas en avant ouvre une fenêtre de réglages bien plus large, notamment autour de la sensibilité des hauteurs de caisse très pointues sur les F1 à effet de sol — un levier stratégique majeur en vue des scénarios de course variés.

La Ferrari de Vasseur progresse – mais ce n'est pas encore suffisant

Ce contexte rend encore plus crucial l’introduction de telles évolutions dès une course sprint, là où seules quelques séances d’essais sont à disposition. Ferrari compte ainsi exploiter pleinement le potentiel de ces nouveautés lors du prochain Grand Prix de Hongrie, sur un format plus classique permettant des ajustements approfondis.

Ces upgrades sont d’autant plus vitaux que Ferrari ne prévoit plus que des ajustements mineurs pour le reste de la saison. Le modèle actuel, la SF-25, sera la voiture sur laquelle devront capitaliser Leclerc et Hamilton jusqu’au dernier Grand Prix. L’équipe italienne entame donc une période charnière où chaque séance de roulage permettra de peaufiner encore la fiabilité et la rapidité du châssis, dans un environnement concurrentiel où la moindre erreur se paie au prix fort.

🔄 Retour d’expérience des pilotes : Leclerc et Hamilton, deux approches face au défi Ferrari

La Ferrari de Vasseur progresse – mais ce n'est pas encore suffisant

Pour jauger pleinement l’effet de ces évolutions, l’avis des pilotes reste indispensable. Ferrari a multiplié les séances d’essai, dont une journée filmée à Mugello, pour offrir à ses deux pilotes — Charles Leclerc et Lewis Hamilton — la possibilité de s’acclimater aux nouveaux réglages avant la course en Belgique.

L’expérience différence vécue par les deux hommes a pourtant donné un éclairage contrasté. Charles Leclerc, pour qui la constance est redevenue le maître-mot, s’est montré satisfait de la capacité retrouvée à pousser sa monoplace dans ses limites habituelles : « Je me sens plus à mon aise, je peux retrouver mon style de pilotage dynamique, c’est ce qui me manquait depuis le début de l’année. »

Lewis Hamilton, de son côté, a été confronté à un week-end plus compliqué. Entre conditions météorologiques instables et choix stratégiques discutables (à l’instar d’un départ depuis la pitlane, pénalité moteur, montage d’un nouvel aileron arrière conçu pour la pluie), le Britannique n’a pas réussi à exprimer tout le potentiel des évolutions. « Non, pas vraiment, » résumait-il, interrogé sur l’amélioration ressentie, évoquant encore une limitation majeure sur l’arrière du véhicule.

L’écart des ressentis s’explique également par le profil très spécifique du circuit de Spa, mais aussi par l’influence du rythme de course et des conditions variables. Hamilton, pénalisé par un trafic dense et des réglages différents, n’a pas pu fournir un retour totalement objectif sur la nouvelle direction technique de Ferrari. Un point qui devrait être corrigé lors des prochains rendez-vous, prévus sur des tracés plus traditionnels.

La Ferrari de Vasseur progresse – mais ce n'est pas encore suffisant

À surveiller : la capacité de Hamilton à rapidement adapter son approche et à capitaliser sur chaque opportunité. Imagine-t-on voir le septuple champion du monde égaler ou dépasser le rythme impressionnant de Leclerc lors des prochaines courses ? Ferrari compte sur l’expérience de ses pilotes pour hausser le niveau d’exigence et tirer le maximum de cette SF-25 remaniée.

🔮 Objectifs pour la seconde moitié de saison : entre optimisme raisonné et volonté de vaincre

La Ferrari de Vasseur progresse – mais ce n'est pas encore suffisant

La deuxième partie du championnat s’annonce décisive. Grâce à l’écart creusé sur Red Bull et à l’inconstance de Mercedes, Ferrari doit convertir cette dynamique retrouvée en victoires. L’équipe s’appuie sur la solidité de Leclerc, régulièrement capable d’extraire le maximum de sa monoplace, et espère voir Hamilton retrouver la voie du podium pour éviter de rejoindre Gilles Villeneuve en tant que pilote ayant le plus attendu chez Ferrari avant de monter sur la boîte.

Si la performance absolue reste pour l’instant du côté de McLaren, Ferrari affiche un optimisme modéré mais affirmé. Le constructeur italien devra continuer à jouer la carte de la discrétion et éviter tout emballement hâtif, préférant laisser parler la piste et capitaliser sur chaque progrès, aussi minime soit-il. Il s’agit désormais de consolider la deuxième place au championnat, saisir la moindre opportunité pour décrocher une victoire, et renouveler la confiance accordée à la cellule technique et humaine en place.

La Ferrari de Vasseur progresse – mais ce n'est pas encore suffisant

Pour les tifosi, chaque avancée nourrit l’espoir de voir Ferrari de nouveau triompher au sommet, tandis que la Scuderia continue d’affûter son arsenal technique. La deuxième moitié de saison représente plus qu’une simple série de courses : c’est un défi collectif, un combat pour raviver la flamme historique d’excellence sportive propre à la marque au Cheval Cabré.

En définitive, le chemin vers la gloire s’annonce compliqué mais passionnant. Ferrari, portée par une volonté de dépassement, prouve chaque week-end que rien n’est figé en Formule 1. Que l’équipe continue de progresser, de se remettre en question et d’innover : c’est là que réside la clé du succès. La Scuderia avance avec ambition et humilité — et chaque défi surmonté la rapproche un peu plus de retrouver la splendeur qui a forgé sa légende. 🌟

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