đŸ‡ČđŸ‡œ FP2 Mexique 2025 : Verstappen frappe fort, Leclerc et Antonelli Ă  l’affĂ»t, Piastri dĂ©croche

Tout ce qui s'est passé lors de la deuxiÚme séance d'essais du GP du Mexique

Max Verstappen a envoyĂ© un signal massif lors de la deuxiĂšme sĂ©ance d’essais libres du Grand Prix du Mexique 2025, en signant le meilleur temps du week-end jusqu’ici. Avec un tour en 1’17”392, il devance Charles Leclerc d’un peu plus d’un dixiĂšme et demi, tandis que Kimi Antonelli, impressionnant au volant de la Mercedes, s’intercale dans le trio de tĂȘte. DerriĂšre, Lando Norris limite la casse pour McLaren, mais Oscar Piastri dĂ©croche et termine en dehors du top 10 (12e), signe d’un vendredi contrastĂ© pour l’équipe papaye.

Le NĂ©erlandais, fort d’un regain de forme spectaculaire depuis la reprise fin aoĂ»t, reste l’outsider du duel Ă  trois qui anime la saison 2025. Pourtant, avec un nouvel Ă©lĂ©ment de fond plat « recyclĂ© » sur sa Red Bull et des rĂ©fĂ©rences solides en longs relais, il apparaĂźt comme l’homme Ă  battre Ă  Mexico. Si son tour rapide a Ă©tĂ© limpide, sa voiture a en revanche montrĂ© plus d’instabilitĂ© en course simulĂ©e, Verstappen se plaignant d’un comportement « terrible » et d’un manque d’adhĂ©rence, comme « sur de la glace ». Un contraste typique de l’altitude extrĂȘme de Mexico, oĂč les voitures peinent Ă  gĂ©nĂ©rer de l’appui et oĂč la gestion des pneus devient un art subtil.

Tout ce qui s'est passé lors de la deuxiÚme séance d'essais du GP du Mexique

DerriĂšre Verstappen, Leclerc s’affirme comme l’adversaire le plus proche sur l’exercice du tour lancĂ©. Ferrari confirme une base saine et une prĂ©paration efficace aprĂšs un FP1 atypique marquĂ© par la prĂ©sence de rookies dans de nombreuses voitures. Antonelli, de son cĂŽtĂ©, a surmontĂ© une alerte Ă©lectronique (« limp home ») en dĂ©but de sĂ©ance pour signer un chrono de rĂ©fĂ©rence et donner Ă  Mercedes une vraie raison d’y croire. Hamilton et Russell complĂštent d’ailleurs un tableau encourageant avec les 5e et 6e temps.

Plus bas, le milieu de grille se resserre : Aston Martin place ses deux pilotes dans le top 10 (Alonso 8e, Stroll 10e) et Williams brille avec Carlos Sainz 9e, malgrĂ© une frayeur pour Alex Albon, qui a effleurĂ© le mur en sortie du dernier virage, ruinant un tour qui pouvait l’amener vers une position plus flatteuse. Yuki Tsunoda place la seconde Red Bull 7e, devant un groupe compact oĂč les Ă©carts deviennent difficiles Ă  combler Ă  Mexico, dĂšs que la piste se gommage et que les tempĂ©ratures montent.

⚔ Duel pour le titre et dynamique du championnat

À cinq courses du terme, la pression est maximale. Oscar Piastri aborde ce rendez-vous en leader du championnat, mais son vendredi mexicain ne reflĂšte ni son niveau de forme, ni la compĂ©titivitĂ© habituelle de McLaren. Face Ă  lui, Verstappen poursuit une remontĂ©e mĂ©thodique et sĂ»re. Avec trois victoires lors des cinq derniĂšres courses, le NĂ©erlandais a rĂ©installĂ© une dynamique gagnante, portĂ©e par un dĂ©veloppement constant de la Red Bull et une exĂ©cution plus propre le dimanche.

Cette FP2 illustre bien le momentum actuel. Sur le tour, la RB se montre « calĂ©e » sur la fenĂȘtre aĂ©ro-mĂ©canique du circuit Hermanos RodrĂ­guez. En revanche, les plaintes de Verstappen sur le long relais indiquent que rien n’est acquis sur la dĂ©gradation, surtout cĂŽtĂ© arriĂšre. L’altitude rĂ©duit la traĂźnĂ©e et donc l’appui effectif, ce qui met les pneus en contrainte lors des phases de traction lentes. C’est prĂ©cisĂ©ment lĂ  que la gestion batterie, la cartographie moteur et le couple en bas rĂ©gime peuvent faire la diffĂ©rence entre une voiture « posĂ©e » et une voiture trop vive, qui glisse et fait surchauffer les gommes.

Pour Piastri, 12e, la journĂ©e appelle Ă  la nuance. D’une part, McLaren a effectuĂ© ses longs relais en pneus tendres quand beaucoup de rivaux travaillaient le medium. Les chronos bruts sont difficiles Ă  comparer. D’autre part, Piastri semble avoir peinĂ© Ă  dĂ©clencher le grip dĂšs la premiĂšre tentative, lĂ  oĂč Norris a su corriger le tir et se hisser 4e. À performances Ă©gales, le pilote australien devra faire un bond en Q2/Q3 pour Ă©viter de se retrouver bloquĂ© dans le trafic, car Mexico punit vite les petites hĂ©sitations dans le dernier secteur.

Au classement, l’équation est simple : chaque point compte. La qualification de samedi pourrait donc jouer un rĂŽle surdimensionnĂ©. Si Verstappen verrouille la pole, il placera d’emblĂ©e la pression sur Piastri et Leclerc. Si au contraire Ferrari dĂ©joue les pronostics sur un tour, le dimanche s’ouvrira avec des scĂ©narios stratĂ©giques multiples oĂč l’undercut et la gestion du thermique pour les freins (hyper sollicitĂ©s Ă  Mexico) deviendront centraux.

🚀 Le tour canon de Verstappen passĂ© au crible

Le 1’17”392 de Verstappen rĂ©sume une exĂ©cution propre. La Red Bull a gĂ©nĂ©rĂ© assez d’adhĂ©rence dans les enchaĂźnements rapides pour permettre un premier secteur verrouillĂ© et un dernier secteur sans patinage excessif en sortie des virages lents. Signe de confiance de l’équipe : Verstappen ne s’est donnĂ© qu’une seule vraie simulation qualif avant de repasser en mode relais longs. Lorsqu’un pilote claque le temps de rĂ©fĂ©rence « d’entrĂ©e », c’est gĂ©nĂ©ralement le signe que la fenĂȘtre de performance est bien cernĂ©e.

Le revers de la mĂ©daille est apparu sur la phase course. L’auto, bardĂ©e de flow-vis Ă  l’arriĂšre, a rĂ©vĂ©lĂ© un arriĂšre plus mobile et une traction perfectible. Les commentaires « terrible » et « comme sur de la glace » indiquent que l’équipe a explorĂ© des solutions aĂ©ro et d’équilibre qui favorisent l’attaque sur un tour, au dĂ©triment de la constance en pleine charge de carburant. C’est un compromis classique, mais qu’il faudra rĂ©ajuster d’ici la qualification pour Ă©viter de trop taper dans les pneus lors d’une Ă©ventuelle Q3 disputĂ©e sur un asphalte qui monte en tempĂ©rature.

CĂŽtĂ© Ferrari, Leclerc a semblĂ© immĂ©diatement dans le rythme aprĂšs un FP1 tronquĂ© par les obligations d’essais jeunes pilotes. Le MonĂ©gasque a dĂ©roulĂ© une sĂ©quence ordonnĂ©e, sans forcer, ce qui laisse penser qu’il en garde sous la pĂ©dale. Ferrari a souvent brillĂ© Ă  Mexico sur l’exercice du tour lancĂ© et, si la gestion de l’arriĂšre est tenue le dimanche, l’équipe peut taper fort sur la grille.

La belle surprise du jour vient de Kimi Antonelli. MalgrĂ© une alerte Ă©lectronique qui a briĂšvement modifiĂ© sa procĂ©dure en dĂ©but de sĂ©ance, l’Italien a trouvĂ© la bonne fenĂȘtre de grip et dĂ©croche le 3e temps, Ă  0”174 de Verstappen. Au-delĂ  du chrono, c’est la sĂ©rĂ©nitĂ© qui frappe : rĂ©guliers, propres, les tours d’Antonelli posent la base d’une qualification oĂč Mercedes pourrait jouer Ă  la fois l’aspiration sur la longue ligne droite et l’explosivitĂ© mĂ©canique dans le secteur 3.

đŸ§© McLaren en demi-teinte : Norris rĂ©agit, Piastri s’enlise

McLaren a vĂ©cu deux sĂ©ances en une. Norris, d’abord en difficultĂ©, a livrĂ© une solide correction et termine 4e, Ă  0”251 de Verstappen. Sa progression en fin de simulation qualif suggĂšre que la MCL39 n’avait pas tout donnĂ© et que l’équipe affinera l’aileron arriĂšre et l’équilibre de frein moteur pour une fenĂȘtre plus large en Q3. En longs relais, le rythme semblait crĂ©dible, mais l’usage du pneu tendre par rapport aux mediums des adversaires brouille les comparaisons. Le plein d’essence et la baisse de densitĂ© de l’air Ă  Mexico peuvent amplifier l’écart perçu, surtout si l’auto gĂ©nĂšre du glissement en traction.

Piastri, lui, n’a pas trouvĂ© la clĂ©. Son premier run de qualification simulĂ©e a manquĂ© de mordant, et la seconde tentative n’a pas effacĂ© le retard. La voiture semblait retenir quelques mouvements latĂ©raux au transfert de masse, typiques d’un carrossage ou d’un diffĂ©rentiel non optimisĂ©s pour les enchaĂźnements lents. RĂ©sultat : 12e temps, qui le place au cƓur d’un peloton compact oĂč l’aspiration peut ĂȘtre un atout
 ou une embĂ»che si la mise en tempĂ©rature des gommes n’est pas parfaite dĂšs le dĂ©but de tour.

La marge de progression existe cependant. En relevant lĂ©gĂšrement l’assiette Ă  l’arriĂšre, en ajustant la cartographie pour lisser le couple et en affinant la prĂ©paration des pneus (pressures et out-lap), McLaren peut gratter plusieurs dixiĂšmes au moment oĂč la piste se « gomme ». La donnĂ©e la plus rassurante pour Woking reste le rythme en course, perçu comme solide sur les relais, mĂȘme s’il faudra valider cette impression en comparant les deltas sur medium au dĂ©but de FP3.

🐎⭐ Ferrari solide, Mercedes revigorĂ©e

Ferrari a livrĂ© un vendredi convaincant. Leclerc signe le 2e temps, Hamilton le 5e, Sainz place la Williams client en 9e position, ce qui souligne aussi la qualitĂ© du bloc de Maranello en altitude. Le point d’attention reste la stabilitĂ© arriĂšre en sortie de virage serrĂ© : Mexico peut facilement dĂ©clencher du survirage de puissance, une dĂ©rive que Ferrari gĂšre mieux cette saison qu’auparavant, mais qui peut rĂ©apparaĂźtre dĂšs que le vent tourne.

Chez Mercedes, on retiendra l’harmonie globale. Antonelli brille (3e), Russell accroche le 6e temps, et l’équipe semble avoir trouvĂ© un compromis aĂ©ro satisfaisant. La flĂšche d’argent paraĂźt moins pĂ©nalisĂ©e en traĂźnĂ©e qu’en dĂ©but d’annĂ©e et s’accommode bien du faible air mexicain. Reste Ă  confirmer le dimanche, lĂ  oĂč le pic de tempĂ©rature et la gestion des freins peuvent piĂ©ger le package. L’alerte « limp home » vue sur la voiture d’Antonelli rappelle que le systĂšme peut encore se montrer chatouilleux, mais la rĂ©action de l’équipe a Ă©tĂ© rapide et propre.

Un mot aussi sur Yuki Tsunoda (7e), trĂšs propre et constant. Sa capacitĂ© Ă  crĂ©er de la rotation en milieu de virage a fait la diffĂ©rence. Si Red Bull parvient Ă  mieux caler l’équilibre de la voiture sƓur sur longs relais, Tsunoda pourrait capitaliser sur une Q3 bien nĂ©gociĂ©e.

đŸŒȘ Milieu de grille resserrĂ© : Aston Martin, Williams et les autres

Aston Martin place ses deux monoplaces dans le top 10 : Alonso 8e, Stroll 10e. L’équipe de Silverstone a trouvĂ© un bon niveau d’appui malgrĂ© la rarĂ©faction de l’air, avec une voiture qui met bien la puissance au sol et qui freine droit. C’est prometteur pour la qualification, d’autant que les longs relais n’ont pas rĂ©vĂ©lĂ© de dĂ©gradation alarmante. La marge de progression se situe dans la vitesse de pointe, importante pour se dĂ©fendre dans la longue ligne droite au dĂ©part.

Chez Williams, Carlos Sainz s’offre le 9e chrono avec un tour propre. L’Espagnol a bĂ©nĂ©ficiĂ© d’une bonne prĂ©paration et d’une voiture rassurante sur les phases de freinage et de remise des gaz, essentielles Ă  Mexico. Alex Albon Ă©choue 19e aprĂšs un baiser au mur en sortie du dernier virage, sur un tour qui pouvait l’amener bien plus haut. Dommage pour le ThaĂŻlandais, mais son rythme intrinsĂšque laisse penser qu’il pourra rebondir en qualification si la confiance revient rapidement.

Plus bas, la hiĂ©rarchie reste serrĂ©e : Lawson (11e) place la Racing Bulls tout prĂšs du top 10, Hadjar (14e) confirme des aptitudes solides, Ocon (13e) exploite bien la Haas, tandis que Sauber place Bortoleto (15e) et HĂŒlkenberg (16e) dans une zone d’attaque raisonnable. Bearman (17e) poursuit l’apprentissage, Colapinto (18e) et Gasly (20e) chercheront davantage de stabilitĂ© et de grip en entrĂ©e, car la voiture semblait nerveuse au transfert de charge.

â›°ïžđŸ›ž Altitude, pneus et freins : les clĂ©s techniques de Mexico

Le circuit Hermanos RodrĂ­guez, perchĂ© Ă  plus de 2200 m d’altitude, impose des contraintes uniques. L’air plus fin rĂ©duit l’appui aĂ©rodynamique et la capacitĂ© de refroidissement, compliquant la vie des pneus et des freins. Les monoplaces glissent davantage, surtout en traction, ce qui augmente la tempĂ©rature des gommes arriĂšre. L’équilibre frein moteur/puissance devient alors critique pour Ă©viter le patinage Ă  la rĂ©accĂ©lĂ©ration.

Sur le plan pneus, l’observation la plus marquante de la FP2 vient des choix divergents : McLaren a travaillĂ© son long relais en tendres, lĂ  oĂč beaucoup ont privilĂ©giĂ© les mediums. Le soft procure du grip immĂ©diat utile pour comprendre l’équilibre, mais il se dĂ©grade plus vite sous cette altitude. Le medium, plus robuste, sera sans doute le pilier stratĂ©gique de la course avec une ou deux fenĂȘtres d’arrĂȘt possibles selon la tempĂ©rature piste et la dĂ©gradation arriĂšre. Un undercut peut fonctionner si la mise en tempĂ©rature du train suivant est maĂźtrisĂ©e, mais la faible densitĂ© de l’air peut retarder l’activation optimale, notamment si l’on ressort dans le trafic.

Les freins, hyper sollicitĂ©s par les gros appuis sur la pĂ©dale Ă  la fin des longues lignes droites, nĂ©cessitent une gestion fine des Ă©copes de refroidissement. Trop ouvertes, elles pĂ©nalisent la traĂźnĂ©e; trop fermĂ©es, elles surchauffent. Les Ă©quipes joueront sur ce curseur entre la FP3 et la qualification, avec l’objectif d’éviter le « glazing » (vitrification) qui allonge les distances de freinage et rend les blocages plus probables en Q1/Q2.

đŸ”â±ïž Ce qu’il faudra surveiller en qualification

Plusieurs points chauds méritent votre attention samedi :

  • L’aspiration sur la ligne droite de dĂ©part/arrivĂ©e : une stratĂ©gie d’aspirateur coordonnĂ©e peut offrir un gain marginal dĂ©cisif en Q3.
  • La mise en tempĂ©rature des pneus arriĂšre : elle dĂ©cidera du sort des tours dĂšs le secteur 1. Trop froide, la voiture sous-vire; trop chaude, elle sur-vire en fin de tour.
  • L’équilibre Red Bull en mode course : si Verstappen corrige le « feeling glace », il part favorit pour verrouiller pole et victoire.
  • La rĂ©action McLaren : Norris a montrĂ© la voie, Piastri doit convertir ses longs relais encourageants en vitesse pure.
  • Ferrari en mode « opportuniste » : Leclerc a le rythme pour titiller la pole, Hamilton peut s’inviter dans le top 4 au jeu des micro-gains.

La fenĂȘtre optimale de piste devrait se situer en toute fin de Q3, si le trafic n’entrave pas les tours. Un drapeau jaune anĂ©antirait les efforts; Ă  Mexico, la proximitĂ© des murs en sortie du dernier virage rend ce scĂ©nario plausible. Les Ă©quipes veilleront donc Ă  sĂ©curiser un premier tour bancable avant de tout lĂącher Ă  la derniĂšre minute.

📊 RĂ©sultats complets – Essais Libres 2 (FP2)

1. Max Verstappen (Red Bull) – 1’17”392
2. Charles Leclerc (Ferrari) – +0”153
3. Kimi Antonelli (Mercedes) – +0”174
4. Lando Norris (McLaren) – +0”251
5. Lewis Hamilton (Ferrari) – +0”300
6. George Russell (Mercedes) – +0”437
7. Yuki Tsunoda (Red Bull) – +0”491
8. Fernando Alonso (Aston Martin) – +0”546
9. Carlos Sainz (Williams) – +0”547
10. Lance Stroll (Aston Martin) – +0”562
11. Liam Lawson (Racing Bulls) – +0”826
12. Oscar Piastri (McLaren) – +0”840
13. Esteban Ocon (Haas) – +0”874
14. Isack Hadjar (Racing Bulls) – +0”889
15. Gabriel Bortoleto (Sauber) – +0”931
16. Nico HĂŒlkenberg (Sauber) – +0”956
17. Ollie Bearman (Haas) – +1”050
18. Franco Colapinto (Alpine) – +1”329
19. Alex Albon (Williams) – +1”463
20. Pierre Gasly (Alpine) – +1”802

Dans l’ensemble, la hiĂ©rarchie s’esquisse : Red Bull et Ferrari se dĂ©tachent sur un tour, Mercedes s’immisce avec autoritĂ©, McLaren cherche encore l’accord parfait et le milieu de grille promet une bataille au couteau pour l’accĂšs Ă  la Q3. La gestion des pneus et l’optimisation des freins Ă  cette altitude seront les vrais « game changers » de samedi.

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