Genesis Magma Racing dĂ©voile un line-up Hypercar audacieux pour le WEC 2026 🚀

Le line-up Hypercar WEC 2026 de Genesis Magma Racing au complet

Le championnat du monde d’endurance s’apprĂȘte Ă  accueillir un nouvel acteur majeur en 2026 : Genesis Magma Racing. PortĂ© par le groupe Hyundai, le programme s’avance avec une ambition claire : s’installer durablement dans la catĂ©gorie Hypercar du WEC et se mesurer d’emblĂ©e aux rĂ©fĂ©rences du plateau. Pour cela, la marque a choisi une voie exigeante : un projet quasi intĂ©gralement in-house, une structure construite de zĂ©ro, et une voiture baptisĂ©e GMR-001 dont le dĂ©veloppement s’intensifie Ă  l’approche de l’ouverture de saison au Qatar 1812 km (Losail), le 28 mars.

La piĂšce qui manquait au puzzle vient d’ĂȘtre rĂ©vĂ©lĂ©e : la composition complĂšte des Ă©quipages. Avec les arrivĂ©es de Mathieu Jaminet et Paul-Loup Chatin, Genesis boucle un line-up oĂč l’expĂ©rience, la vitesse et la science de l’endurance rencontrent l’énergie de profils en pleine ascension comme Mathys Jaubert et Dani Juncadella, sans oublier deux piliers reconnus : Pipo Derani et AndrĂ© Lotterer. En rĂ©serve et dĂ©veloppement, Jamie Chadwick poursuivra Ă©galement son intĂ©gration Ă  l’environnement Hypercar.

Au-delĂ  des noms, une question concentre toutes les attentes : cet effectif a-t-il de quoi jouer aux avant-postes dĂšs 2026 ? Voici ce qu’il faut retenir : la cohĂ©rence stratĂ©gique de l’ensemble, les qualitĂ©s complĂ©mentaires des pilotes, des arbitrages encore ouverts sur la formation des Ă©quipages pour les courses de six heures post-Le Mans, et un programme d’essais intensif permis jusqu’à l’homologation. DĂ©cryptage.

Genesis Magma Racing en Hypercar : ambition d’usine et cap 2026 🚩

Entrer en Hypercar, c’est s’inscrire au cƓur de la discipline-reine de l’endurance actuelle. Face aux constructeurs dĂ©jĂ  installĂ©s, Genesis Magma Racing assume une stratĂ©gie claire : bĂątir un Ă©quipe d’usine avec des standards de prĂ©paration Ă©levĂ©s, une chaĂźne de dĂ©cision courte et une culture de la performance portĂ©e par des profils aguerris. Le choix de tout intĂ©grer – depuis le management sportif jusqu’à l’ingĂ©nierie – fixe un cap exigeant mais potentiellement payant dans la durĂ©e.

La GMR-001 progresse Ă  bon rythme. Depuis son shakedown en aoĂ»t, le programme a basculĂ© sur une campagne de roulage quasi ininterrompue. Objectif : fiabiliser, accumuler des donnĂ©es sur les fenĂȘtres d’exploitation pneumatique, affiner l’aĂ©rodynamique en corrĂ©lation soufflerie/simulation, roder les procĂ©dures de stand et travailler le driveability pour que chaque pilote s’exprime Ă  son meilleur niveau. Avant l’homologation technique Ă  Losail, Genesis bĂ©nĂ©ficie de la libertĂ© de tester sans restriction : un avantage dĂ©cisif pour une structure en phase d’apprentissage accĂ©lĂ©rĂ©.

Au plan sportif, la marque assume une trajectoire ambitieuse sans tomber dans la surpromesse. Les dirigeants l’ont rĂ©pĂ©té : l’objectif est de se prĂ©senter au Qatar 1812 km avec une voiture prĂȘte au combat, des Ă©quipages homogĂšnes et un socle opĂ©rationnel robuste. Gagner d’entrĂ©e ? Illusoire dans une catĂ©gorie aussi dense. Mais montrer les crocs, saisir la moindre opportunitĂ© stratĂ©gique, et apprendre vite : voilĂ  la feuille de route.

Deux signatures-clĂ©s pour boucler l’effectif : Jaminet et Chatin đŸ§©

Le duo finalisĂ© rĂ©cemment change l’ampleur perçue du projet. Mathieu Jaminet (31 ans) arrive au sommet de sa forme, aurĂ©olĂ© d’un titre IMSA SportsCar fraĂźchement conquis avec Porsche Penske Motorsport sur la 963. Son parcours avec Porsche – titre GTD Pro 2022, couronne ADAC GT Masters 2018 – l’a fait passer du statut d’espoir GT Ă  celui de rĂ©fĂ©rence en LMDh. Son atout majeur ? Une lecture fine des pneus et des phases de trafic, un atout crucial sur des relais longs et en conditions mixtes.

Paul-Loup Chatin (34 ans) possĂšde un profil diffĂ©rent mais tout aussi prĂ©cieux. Triple champion European Le Mans Series et champion IMSA LMP2 2023, il a offert Ă  l’Alpine A424 son premier succĂšs au Japon (Fuji) fin septembre. Sa force : une constance remarquable au fil des saisons, une approche mĂ©thodique du set-up, et une capacitĂ© Ă  hausser le rythme dans les clĂ©s de course sans compromettre la fiabilitĂ©.

Ces arrivĂ©es complĂštent une ossature dĂ©jĂ  solide :

  • Pipo Derani (32 ans) : deux titres avec Cadillac en IMSA, vainqueur Ă  Daytona (2016) et quadruple laurĂ©at des 12 Heures de Sebring. Prototypeur complet, agressif dans le trafic, redoutable en duel.
  • AndrĂ© Lotterer (44 ans) : triple vainqueur du Mans et double champion WEC. Moins tranchant qu’au pic de ses annĂ©es Audi, mais pilote-expert de trĂšs haut niveau, rĂ©fĂ©rence de mise au point et formidable team player.
  • Mathys Jaubert (20 ans) : issu du programme de dĂ©veloppement Trajectory, rĂ©vĂ©lĂ© en LMP2 lors de la saison ELMS 2025. Talent brut, courbe d’apprentissage fulgurante.
  • Dani Juncadella (34 ans) : champion GT World Challenge, vainqueur Ă  Daytona, Petit Le Mans et Spa 24h. Pilote au palmarĂšs GT/DTM consĂ©quent, dĂ©sormais attendu au tournant en prototype.
  • Jamie Chadwick : rĂ©serve et dĂ©veloppement. Son rĂŽle sera central pour l’outil simulateur et la consolidation des procĂ©dures.

Dans les coulisses, la direction sportive a menĂ© un travail de casting prĂ©cis. Le team principal Cyril Abiteboul l’a affirmé : la combinaison obtenue “dĂ©passe les attentes initiales”. Le directeur sportif Gabriele Tarquini parle, lui, d’un â€œĂ©quilibre parfait entre l’expĂ©rience d’AndrĂ© Lotterer et de Pipo Derani, et le potentiel de Mathys Jaubert et Dani Juncadella, avec l’apport immĂ©diat de Jaminet et Chatin”. À noter : la volontĂ© de concentrer les efforts sur le WEC a conduit l’équipe Ă  refuser des profils dĂ©jĂ  engagĂ©s en double programme, mĂȘme prestigieux. Une dĂ©cision forte, signe de la prioritĂ© donnĂ©e Ă  la disponibilitĂ© et Ă  l’alignement d’objectifs.

Puissance, promesses et zones d’ombre : le vrai visage du line-up ⚖

Ce roster coche de nombreuses cases pour jouer vite et bien en Hypercar. Mais comme tout projet nĂ© d’une feuille blanche, il recĂšle aussi des inconnues. DĂ©taillons forces et questions, sans langue de bois.

Ce que Genesis possÚde déjà de mieux

  • Une colonne vertĂ©brale expĂ©rimentĂ©e : Derani et Lotterer offrent deux rĂ©fĂ©rentiels complĂ©mentaires. Le premier pour l’attaque, la gestion des doubles et triples relais, la lecture des relances; le second pour la science du rĂ©glage, l’orientation de dĂ©veloppement, et l’homogĂ©nĂ©isation du comportement voiture sur des profils de pilotes variĂ©s.
  • Deux renforts en forme Ă©tincelante : Jaminet arrive avec un bagage LMDh hyper actuel et une confiance de champion. Chatin a la rĂ©gularitĂ©, la propretĂ© de conduite et la patience stratĂ©gique qui paient en Hypercar, oĂč la clean execution fait souvent la diffĂ©rence.
  • Un vivier de potentiel : Jaubert et Juncadella apportent Ă©nergie, fraĂźcheur et capacitĂ© Ă  monter en puissance au fil des essais. Sur un programme neuf, oĂč la rĂ©pĂ©tition compte autant que le talent brut, c’est souvent lĂ  que se crĂ©ent les surprises.
  • Des passerelles humaines dĂ©jĂ  en place : Lotterer connaĂźt une partie de l’encadrement technique (dont l’ingĂ©nieur en chef Justin Taylor et l’ingĂ©nieur de course Mathieu Leroy). Cette culture commune accĂ©lĂšre la convergence de set-up et la rĂ©solution de problĂšmes.

Les points d’attention à surveiller

  • L’intĂ©gration de profils trĂšs diffĂ©rents : du style incisif de Derani Ă  la conduite lisse de Chatin, en passant par l’école GT de Juncadella, harmoniser les prĂ©fĂ©rences (freinage, rotation, gestion du sous-virage Ă  l’entrĂ©e, sensibilitĂ© de l’essieu arriĂšre sur les appuis) demandera du temps et de la mĂ©thode.
  • La gestion de la pression pour les nouveaux venus en Hypercar : Jaubert et Juncadella doivent convertir des repĂšres LMP2/GT en exigences Hypercar. La montĂ©e en tempĂ©rature des pneus, la rĂ©cupĂ©ration d’énergie, les procĂ©dures hybrides et l’optimisation des phases de lift & coast imposent une courbe d’apprentissage raide.
  • L’ñge et la cadence : Ă  44 ans, Lotterer reste une arme de haut niveau, mais l’exigence des doubles relais en chaleur et des fins de course en paquet impose une gestion fine des pics d’effort. Son apport se mesure aussi hors cockpit : stabilitĂ©, feedback, pĂ©dagogie.

Au global, l’équation a du sens : deux locomotives, deux moteurs de rĂ©gularitĂ©, deux jokers Ă  dĂ©velopper. Pour une premiĂšre annĂ©e, c’est un mix Ă©quilibrĂ© entre vitesse, expĂ©rience et potentiel.

Équipages, tests et GMR-001 : la route vers Losail đŸ§Ș

Deux dossiers animent la fin d’hiver : la constitution exacte des Ă©quipages et le programme d’essais jusqu’au Qatar.

Duos ou trios aprùs Le Mans ?

Genesis Magma Racing n’a pas encore figĂ© sa stratĂ©gie pour les courses de six heures post-Le Mans. L’équipe Ă©value l’option de passer Ă  deux pilotes par voiture pour ces manches, une configuration parfois avantageuse en rythme pur et en simplicitĂ© opĂ©rationnelle. Si cette voie est retenue, les “victimes” probables seraient Dani Juncadella et Mathys Jaubert. À l’inverse, maintenir des trios offre de la flexibilitĂ© sur la gestion des relais, une meilleure rĂ©partition de la charge mentale et physique et davantage d’options en cas de pĂ©pins.

La direction sportive l’a rappelé : la chimie entre pilotes – styles de pilotage compatibles, prĂ©fĂ©rences de rĂ©glage, qualitĂ© de communication – pesera autant que les chronos bruts. Les discussions internes et les tests dĂ©terminent progressivement deux trios possibles : Derani / Lotterer / Jaubert d’un cĂŽtĂ©, Chatin / Jaminet / Juncadella de l’autre. Le critĂšre de rĂ©partition des gabarits et du poids entre pilotes entrera aussi en ligne de compte, notamment pour optimiser les positions assise/harnais et l’équilibre voiture avec diffĂ©rents centres de masse.

Un programme d’essais sans relñche

Depuis aoĂ»t, la GMR-001 n’arrĂȘte pas de rouler. Cette intensitĂ© s’explique par le rĂšglement : avant homologation, un nouveau constructeur peut tester sans contrainte. ConcrĂštement, Genesis met l’accent sur :

  • La fiabilitĂ© “endurance” : rĂ©pĂ©tition des relais longs, validations thermiques, vieillissement des composants sensibles.
  • La performance durable : travail des fenĂȘtres pneu/piste, aĂ©rodynamique exploitĂ©e, cohĂ©rence set-up entre pilotes.
  • Les opĂ©rations : procĂ©dures de dĂ©part/relance, arrĂȘts aux stands, coordination mĂ©canos-ingĂ©nieurs, gestion des neutralisations.
  • La corrĂ©lation simul/terrain : aligner la voiture numĂ©rique (simulateur, modĂšles de vĂ©hicule) et la voiture rĂ©elle pour gagner du temps de dĂ©veloppement.

Au rang des nouvelles du paddock, Jaminet a dĂ©jĂ  rĂ©alisĂ© ses premiers tours en GMR-001 sur le tracĂ© d’AragĂłn, quelques jours seulement aprĂšs sa derniĂšre course avec la 963. Son retour d’expĂ©rience est prĂ©cieux : il a dĂ» adapter son style Ă  une voiture qui “aime les longues courbes rapides” et qui exige une approche diffĂ©rente de la fenĂȘtre d’adhĂ©rence. Il insiste aussi sur l’importance de maĂźtriser chaque systĂšme du volant et les procĂ©dures spĂ©cifiques – un champ oĂč sa culture proto rĂ©cente est un atout.

À l’inverse, Chatin n’a pas encore pris le volant, n’ayant pas Ă©tĂ© libĂ©rĂ© Ă  ce stade par son Ă©quipe prĂ©cĂ©dente. Ce dĂ©lai ne doit pas ĂȘtre surinterprĂ©té : sa mĂ©thodologie et sa capacitĂ© Ă  se mettre au diapason d’une auto nouvelle ont dĂ©jĂ  fait leurs preuves par le passĂ©.

Ce que disent les pilotes et l’encadrement

Les premiers Ă©chos confirment une dynamique de groupe saine et ambitieuse. Abiteboul souligne la confiance d’un plateau de race winners et de champions qui choisissent une jeune Ă©quipe. Tarquini insiste sur l’équilibre entre l’expĂ©rience et le potentiel. De son cĂŽtĂ©, Jaminet explique ĂȘtre arrivĂ© avec un regard neuf pour “apporter un feedback diffĂ©rent”, volontairement sans trop s’aligner a priori sur les sensations de ses futurs coĂ©quipiers, afin d’offrir aux ingĂ©nieurs une feuille blanche utile au tri des axes de dĂ©veloppement.

Ces approches convergent : multiplier les kilomĂštres pour trier les solutions, simplifier les procĂ©dures, et prĂ©parer soigneusement le week-end qatari – tempĂ©ratures, poussiĂšre, gestion des phases nocturnes et trafic.

Focus pilotes : rĂ©sumĂ© des atouts clĂ©s

  • Derani : attaque contrĂŽlĂ©e, science du trafic, efficacitĂ© en restart, agressivitĂ© mesurĂ©e.
  • Lotterer : vision globale, mise au point, sens du collectif, expĂ©rience Le Mans/WEC incomparable.
  • Jaminet : rĂ©fĂ©rences LMDh actuelles, endurance tactique, gestion pneus.
  • Chatin : constance, propretĂ©, capacitĂ© Ă  verrouiller un rythme de course gagnant.
  • Juncadella : vitesse GT, soliditĂ© mentale, adaptabilitĂ©; enjeu : transposer en proto.
  • Jaubert : fraĂźcheur, vitesse pure, marge de progression; enjeu : apprivoiser la pression Hypercar.

Des choix forts et une vision claire

Le projet a aussi tranchĂ© sur des aspects structurants : prioritĂ© au WEC sans double programme pour Ă©viter la dispersion et protĂ©ger la cohĂ©rence de l’effort technique. C’est un message adressĂ© au plateau : Genesis ne vient pas pour “exister”, mais pour performer avec une trajectoire nette. Cela passe par la stabilitĂ© des Ă©quipages, la disponibilitĂ© des pilotes et l’engagement total dans les phases d’essais.

Le Qatar comme premier révélateur

Le 28 mars, le Qatar 1812 km offrira un premier calibre de vĂ©ritĂ©. Losail exige un chĂąssis stable en appuis rapides et une bonne gestion de la dĂ©gradation pneus sur de longues sĂ©quences. La capacitĂ© de la GMR-001 Ă  gĂ©nĂ©rer de l’adhĂ©rence au bon endroit, Ă  maintenir une balance constante du plein au vide, et Ă  prĂ©server les gommes arriĂšre sera scrutĂ©e de prĂšs. Les relais de nuit, la poussiĂšre de dĂ©sert et l’intensitĂ© des relances rendront la lecture stratĂ©gique dĂ©terminante.

Le rÎle crucial de la réserve

Jamie Chadwick, en tant que pilote de rĂ©serve et de dĂ©veloppement, aura un rĂŽle bien plus important qu’il n’y paraĂźt : validation des Ă©volutions au simulateur, renforcement des boucles de corrĂ©lation, et prĂ©paration au remplacement instantanĂ© si nĂ©cessaire. Dans une saison oĂč chaque dĂ©tail compte, sa contribution peut reprĂ©senter ces dixiĂšmes qui s’additionnent.

Enfin, un mot sur le management : Abiteboul fixe un cap ambitieux sans triomphalisme, tandis que Tarquini façonne l’ADN sportif autour de l’exĂ©cution, de l’équilibre et de la fiabilitĂ©. L’ensemble compose une plateforme solide pour qu’un constructeur novice en Hypercar s’affirme rapidement, sans brĂ»ler les Ă©tapes.

Qu’attendre vraiment de 2026 ?

RĂȘver d’un podium d’entrĂ©e n’est pas interdit, mais le succĂšs se mesure aussi Ă  l’accĂ©lĂ©ration de l’apprentissage. S’installer dans le peloton de tĂȘte, capitaliser sur les opportunitĂ©s (Full Course Yellow, safety-cars, fenĂȘtres d’arrĂȘts optimales), Ă©viter les fautes de jeunesse et engranger des points seront des signes tangibles de rĂ©ussite. Le reste viendra avec la rĂ©pĂ©tition et la stabilitĂ© des Ă©quipages.

À l’heure oĂč la catĂ©gorie Hypercar atteint une densitĂ© jamais vue, la composition de Genesis Magma Racing coche les cases essentielles : vitesse, expĂ©rience, potentiel, et une culture de la performance en train de se souder. La GMR-001, elle, ne demande qu’à parler piste.

Conclusion : Genesis Magma Racing arrive en 2026 avec une vision claire, un line-up ambitieux et une mĂ©thode de travail alignĂ©e sur les meilleurs standards du WEC. La saison dira si la greffe prend dĂšs les premiers tours de roues en course, mais une chose est sĂ»re : l’équipe ne manque ni d’atouts, ni d’appĂ©tit, ni de dĂ©termination.

Au bout de la ligne droite, il y a toujours un virage ; c’est lĂ  que se rĂ©vĂšlent les plus audacieux. 🌟

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