Isack Hadjar : la révélation française qui pourrait devenir le prochain coéquipier de Verstappen 🚀

🇫🇷 Un rookie qui bouscule la hiérarchie en Formule 1

Isack Hadjar s’est fortement distingué lors du Grand Prix des Pays-Bas en montant sur le podium, dépassant déjà les attentes suscitées par sa qualification la veille. Ce résultat, point d’orgue de son début de saison chez Red Bull, marque l’avènement d’un talent brut et singulier sur la grille de 2025.
La Formule 1, véritable arène de caractères, regorge de pilotes aux tempéraments variés : confiants, nerveux, agressifs, parfois même instables. Parmi eux, Isack Hadjar s’impose comme la curiosité du paddock. Plus qu’un simple « rookie », il est sans doute le pilote le plus intriguant du plateau : rapide sur la piste, captivant en dehors grâce à un mélange rare de franchise, d’humour et d’exigence envers lui-même.
🧠 Entre réalisme, travail mental et résilience : l’atypisme Hadjar

La personnalité d’Isack Hadjar ne laisse personne indifférent. Son franc-parler et son auto-critique poussée surprennent dans les conférences de presse, rompant avec le politiquement correct habituel. Son équipe l’a d’ailleurs encouragé à sourire davantage – non pas pour feindre l’extroversion, mais pour cultiver un climat plus positif au sein du garage.
Conscient de l’importance du mental en F1, il collabore désormais avec un coach pour renforcer sa gestion émotionnelle. Pourtant, son approche réaliste, forgée par les hauts et les bas du sport automobile, l’aide à relativiser. Hadjar explique : « J’ai connu bien plus de déceptions que de bons week-ends dans ma carrière. Ce qui compte, c’est la courbe de progression, peu importe le point de départ. On peut toujours renverser la situation. »
Cette philosophie s’est illustrée dès ses débuts : après un accident au tour de formation en Australie dès sa première course, il a su rebondir lors des événements suivants. Malgré des difficultés à Suzuka ou Monaco, il a su transformer l’adversité en occasions d’exceller. Son style, parfois explosif à la radio, révèle un besoin d’extérioriser pour mieux repartir, une stratégie qu’il assume pleinement : « J’ai besoin d’évacuer. Sinon, ça reste… Alors je crie dans la voiture, cela me permet d’avancer. »
🏎️ Une adaptation express et un engagement total en F1

Isack Hadjar a surpris par sa vitesse d’adaptation au plus haut niveau, malgré un bagage technique limité et le plus faible kilométrage en essais parmi les débutants. Sa capacité à apprendre vite, à comprendre la voiture et à tirer le maximum d’un matériel parfois capricieux impressionne ses ingénieurs. Pour être au plus près de son équipe, il a même quitté Paris afin de s’installer près de l’usine Racing Bulls à Faenza, illustrant une détermination sans faille.

Le Français détaille sa méthode : « J’ai passé un mois complet à la fabrique avant la saison, pour tout préparer. Cela m’a permis d’aborder chaque scénario possible avec mon ingénieur Pierre, de m’immerger dans l’environnement et de me familiariser avec chaque aspect technique. Même hors du volant, il faut être à jour et connaître l’équipe sur le bout des doigts. »
Résultat : Hadjar s’est imposé comme une pièce maîtresse de Red Bull, à l’image d’un Pierre Gasly ou d’un Charles Leclerc à leurs débuts, mais sans l’aura de star immédiate de certains prodiges promus coûte que coûte vers la F1. Sa sélection dans l’écurie a été accélérée suite à la baisse de performance de Sergio Perez, lui offrant ainsi la chance de faire ses preuves dans un environnement exigeant.

Malgré quelques périodes d’incertitude, il a su prouver sa valeur. Désormais, il est considéré par beaucoup comme l’option numéro un pour succéder à Yuki Tsunoda et potentiellement être le nouveau coéquipier de Max Verstappen en 2026.
📊 Bilan sportif : entre coups d'éclat et défis à relever

Le parcours d’Isack Hadjar en 2025 est marqué par des performances remarquables et des périodes plus compliquées. Dès l’ouverture de la saison en Australie, il affiche un rythme impressionnant, même si la course ne lui donne pas raison. Rapidement, il marque ses premiers points au Japon, sur un tracé exigeant comme Suzuka. Au fil des épreuves, sa constance lui permet de s’installer à la 13e place du classement général, deuxième meilleur scoreur de Red Bull après Verstappen.
Cependant, tout n’a pas été simple. Avant la trêve estivale, une série de cinq courses sans point — malgré une prestation notable lors du sprint à Spa — a freiné sa dynamique. Les causes ont souvent été externes : stratégie défaillante au Canada, accrochage en Autriche, incident sous la pluie en Grande-Bretagne ou souci mécanique en Belgique. Son coéquipier Liam Lawson a profité de cette période pour reprendre l’avantage aux points, mais Hadjar n’est pas du genre à se réfugier derrière les excuses.

Sa force ? Une honnêteté lucide : « J’essaie toujours de tirer le meilleur potentiel avant les qualifications. Si la voiture vaut une 5e place et que je termine 8e, je sais que j’aurais pu faire mieux, et cela me frustre. Mieux vaut finir 12e en ayant tout donné, que 8e en passant à côté de quelque chose. »

Cette démarche d’auto-évaluation stricte explique pourquoi certaines bonnes courses se soldent par une réaction froide : ce n’est pas la position finale qui le satisfait, mais la qualité de la performance.
🦾 Quelle prochaine étape pour la révélation Hadjar ?
La trajectoire d’Isack Hadjar en Formule 1 est celle d’un pilote qui apprend vite, qui relève les défis et sait capitaliser sur les moindres opportunités. Son manque d’expérience initial, loin d’être un frein, lui a même servi dans son approche : « J’ai toujours été habitué à peu de kilomètres depuis le karting. L’important ce n’est pas de rouler pour rouler, mais d’optimiser chaque session en piste. La vitesse pure, je l’ai et c’est sur la gestion de course que le progrès est le plus grand. »
Même lors de tests décevants à Bahreïn, il n’a pas douté de sa pointe de vitesse mais identifiait un simple manque de roulage. En réalité, c’est sur le vécu en conditions de course, semaine après semaine, que Hadjar se perfectionne : « Dans l'absolu, le test et les kilomètres ne valent pas une vraie course. Une fois que la vitesse est là, c'est en compétition qu'on apprend le plus. »
Après un pic de confiance en milieu de saison, il a traversé une période plus creuse sans jamais abdique. Sa mentalité et son engagement augurent du meilleur pour la suite, d’autant qu’il refuse systématiquement la facilité des excuses. Cette rigueur forge un mental déjà solide malgré son jeune âge, essentiel pour affronter la pression chez Red Bull ou viser plus haut encore.
Sa philosophie, « tu peux toujours renverser la situation », résume l’état d’esprit d’un jeune champion en devenir. Et si demain, Isack Hadjar venait à s’asseoir aux côtés de Max Verstappen dans le team principal Red Bull, gageons qu’il saura rester humble tout en savourant cette réussite exceptionnelle.
Conclusion inspirante : Dans un univers aussi impitoyable que la Formule 1, Isack Hadjar prouve que le talent pur, l’humilité et une force de caractère à toute épreuve peuvent faire basculer une carrière. Inspirons-nous de son exemple : « On peut toujours retourner la situation » – c’est aussi vrai en sport qu’en entreprise ou dans la vie !
Dans la course à la performance et à la maîtrise, rêver de dompter une Ferrari 488 GTB n’est pas si éloigné du parcours d’Isack Hadjar. Pour réaliser votre rêve automobile, découvrez toutes les offres de leasing flexibles et garanties sur Joinsteer.