Grand Prix du Mexique F1 2025: Norris impĂ©rial, Bearman bluffant et un peloton en fusion đŸ”„đŸ‡ČđŸ‡œ

Classement des pilotes du Grand Prix du Mexique de F1

Le Grand Prix du Mexique 2025 a livrĂ© une course aussi stratĂ©gique que haletante, oĂč la gestion des pneus, le contrĂŽle de l’adhĂ©rence sur un asphalte capricieux et la maĂźtrise du refroidissement Ă  haute altitude ont fait toute la diffĂ©rence. Sur ce terrain d’experts, Lando Norris a dictĂ© le tempo avec une McLaren parfaitement Ă  l’aise dans ces conditions, pendant qu’un Ollie Bearman inspirĂ© a signĂ© l’une des dĂ©monstrations les plus abouties de sa jeune carriĂšre. DerriĂšre, l’audace de Max Verstappen, la soliditĂ© de Charles Leclerc et la bataille fĂ©roce du milieu de grille ont offert un scĂ©nario riche en dĂ©passements, en rebondissements et en enseignements.

Voici notre décryptage complet et structuré du week-end mexicain, pensé pour vous donner une vision claire des forces en présence, des choix stratégiques et des trajectoires qui comptent pour la suite de la saison.

1) Mexico dĂ©chiffre le plateau 2025: altitude, adhĂ©rence et stratĂ©gies gagnantes 🧭

L’AutĂłdromo Hermanos RodrĂ­guez est un juge implacable. À plus de 2200 mĂštres d’altitude, l’air rarĂ©fiĂ© rĂ©duit l’appui aĂ©rodynamique, Ă©chauffe les systĂšmes et complique le travail des pneus. Sur ce Grand Prix, la combinaison faible adhĂ©rence + gestion thermique a distinguĂ© les Ă©curies les plus affĂ»tĂ©es. McLaren a brillĂ©, Ferrari a tenu bon, Red Bull a dĂ» composer, tandis que le milieu de grille a jouĂ© au funambule entre rythme pur et exĂ©cution minutieuse.

Lando Norris a transformĂ© la pole position en victoire autoritaire, profitant d’une monoplace qui a su respirer mieux que les autres. Sa lecture du grip, sa façon d’oser au point de corde sans se faire piĂ©ger par un avant qui s’accroche soudain, et sa capacitĂ© Ă  gĂ©rer les phases de remise en tempĂ©rature ont fait toute la diffĂ©rence. MĂȘme l’absence en EL1 n’a pas perturbĂ© sa montĂ©e en puissance: une preuve supplĂ©mentaire de son confort naturel sur ce type de surface.

Classement des pilotes du Grand Prix du Mexique de F1 - Lando Norris (McLaren)

Mais l’homme du week-end pour beaucoup reste Ollie Bearman. Parti 9e, il a tricotĂ© une course audacieuse et propre: dĂ©part Ă©nergique, gestion des batailles sans excĂšs, opportunisme dans le trafic, capacitĂ© Ă  maintenir derriĂšre lui des voitures thĂ©oriquement plus rapides, puis choix pneus/arrĂȘts mesurĂ©s. Sa lecture du peloton, son calme face aux assauts de poids lourds et sa fin de course sous haute tension lui valent un capital crĂ©dit important auprĂšs des dĂ©cideurs de Maranello.

Classement des pilotes du Grand Prix du Mexique de F1 - Ollie Bearman (Haas)

Red Bull a vécu un week-end plus nuancé. Les choix de refroidissement orientés course ont coûté de la performance sur un tour, et Max Verstappen en a semblé contrarié. Pourtant, ses décisions tranchées au départ, son art de la gestion en rythme dégradé et sa séquence en pneus tendres ont rappelé sa capacité à renverser le rapport de force. Sans neutralisations tardives, la lutte pour la P2 aurait encore gagné en intensité.

Classement des pilotes du Grand Prix du Mexique de F1 - Max Verstappen (Red Bull)

Chez Ferrari, Charles Leclerc a livrĂ© un week-end solide, maĂźtrisant mieux qu’autrefois la faible adhĂ©rence mexicaine. Sa qualification propre, son dĂ©part musclĂ©, puis son contrĂŽle du rythme ont verrouillĂ© la deuxiĂšme place. Un petit moment de rĂ©ussite au dĂ©part a aidĂ©, mais l’exĂ©cution ensuite a Ă©tĂ© sans bavure.

Classement des pilotes du Grand Prix du Mexique de F1 - Charles Leclerc (Ferrari)

Au-delĂ  des tĂȘtes d’affiche, Mexico a aussi rappelĂ© que la F1 moderne se joue beaucoup dans l’exĂ©cution: arrĂȘts au stand sous pression, fenĂȘtres d’undercut/overcut trĂšs courtes, choix de gommes dictĂ©s par la tempĂ©rature de piste et le trafic. Ceux qui ont le mieux articulĂ© ces paramĂštres ont gagnĂ© gros. Les autres ont perdu du terrain, parfois pour quelques secondes perdues au mauvais moment.

2) Les performances qui font basculer une course: du panache au sang-froid 🌟

Ollie Bearman a dĂ©roulĂ© un week-end rĂ©fĂ©rence. PrivĂ© d’EL1, il s’est rapidement mis au niveau, a atteint la Q3 et a ensuite transformĂ© une position de dĂ©part moyenne en un rĂ©sultat de premier plan. Sa progression initiale, la maniĂšre d’attaquer quand la fenĂȘtre s’ouvrait, puis la dĂ©fense propre face Ă  des champions du monde ont rĂ©vĂ©lĂ© une maturitĂ© rare. Le choix stratĂ©gique d’un second arrĂȘt lĂ©gĂšrement conservateur a coĂ»tĂ© un rang, mais a aussi assurĂ© la sĂ©curitĂ© globale du plan de course. Message reçu: il ne s’agit pas seulement d’un jeune rapide, mais d’un compĂ©titeur complet.

Lando Norris a Ă©tĂ© injouable en tĂȘte. Un dĂ©part sans bavure, des tours de dĂ©gagement impeccables, un rythme de fond supĂ©rieur et une absence d’erreurs: c’est la formule de la victoire nette. Sa domination face Ă  son coĂ©quipier Oscar Piastri souligne non seulement son Ă©tat de forme, mais aussi ses atomes crochus avec les spĂ©cificitĂ©s mexicaines: quand l’adhĂ©rence est prĂ©caire, il excelle dans l’art de flirter avec la limite sans la dĂ©passer.

Max Verstappen, malgrĂ© une journĂ©e qui ne lui Ă©tait pas entiĂšrement favorable, a jouĂ© son va-tout au dĂ©part et capitalisĂ© sur un relais en tendres trĂšs performant. La lecture agressive mais contrĂŽlĂ©e des premiĂšres sĂ©quences lui a permis de s’extraire du trafic et d’optimiser un package Red Bull davantage rĂ©glĂ© pour la course que pour la pole. À dĂ©faut de briller en pur chrono, l’efficacitĂ© de course reste sa marque de fabrique.

Charles Leclerc, concentrĂ© et clinique, a tenu le rang. Sa Ferrari n’avait pas de quoi dĂ©fier Norris, mais le MonĂ©gasque a verrouillĂ© son duel interne et gardĂ© la fenĂȘtre correcte de tempĂ©rature pneus, ce qui a fait la diffĂ©rence pour conserver une marge sur la fin. Ce type de prestation « sans histoire » pĂšse trĂšs lourd dans un championnat.

Lewis Hamilton a affichĂ© de la vitesse, mais sa passe d’armes musclĂ©e a fait dĂ©railler une course qui pouvait viser le podium. Une glissade, un freinage appuyĂ©, un gain de temps mal restituĂ©: addition salĂ©e en pĂ©nalitĂ© et classement final amoindri. Les signes de forme sont lĂ , mais la sanction comptable aussi.

Classement des pilotes du Grand Prix du Mexique de F1 - Lewis Hamilton (Ferrari)

Oscar Piastri a vĂ©cu un week-end de rĂ©sistance. Moins Ă  l’aise que Norris quand le grip se dĂ©robe, il a nĂ©anmoins livrĂ© une remontĂ©e appliquĂ©e, avec quelques attaques incisives dont une manƓuvre ciselĂ©e sur George Russell. La cinquiĂšme place, compte tenu du dĂ©part et des conditions, vaut de l’or pour McLaren dans la course aux points.

Classement des pilotes du Grand Prix du Mexique de F1 - Oscar Piastri (McLaren)

George Russell et Kimi Antonelli ont animĂ© un ballet stratĂ©gique chez Mercedes. Russell a montrĂ© la pointe de vitesse, mais pas toujours la perfection d’exĂ©cution; Antonelli a consolidĂ© un de ses meilleurs week-ends avec une course propre, des consignes bien gĂ©rĂ©es et une restitution finale des positions logique au regard du rythme. L’ensemble raconte une Ă©quipe compĂ©titive, mais encore en quĂȘte du petit plus pour croquer Ferrari et McLaren.

Classement des pilotes du Grand Prix du Mexique de F1 - George Russell (Mercedes)
Classement des pilotes du Grand Prix du Mexique de F1 - Kimi Antonelli (Mercedes)

3) Le milieu de grille en Ă©bullition: exĂ©cution, opportunisme et gros points ⚔

Dans la bataille pour les derniers points, la précision a dicté le classement.

Haas a vĂ©cu un week-end Ă  deux visages. Outre la classe d’Ollie Bearman, la prestation d’Esteban Ocon mĂ©rite d’ĂȘtre soulignĂ©e: qualification serrĂ©e, course solide avec un long undercut dĂ©cisif sur Yuki Tsunoda, et une gestion propre des gommes. Un ensemble qui pose l’équipe amĂ©ricaine en candidate rĂ©guliĂšre aux points sur des tracĂ©s propices.

Classement des pilotes du Grand Prix du Mexique de F1 - Esteban Ocon (Haas)

Sauber a illustrĂ© l’incertitude mexicaine. Nico HĂŒlkenberg a vu ses efforts ruinĂ©s par un ennui de PU et des vibrations, quand Gabriel Bortoleto, aprĂšs une qualification frustrante, a signĂ© une course offensive et mĂ©thodique. DĂ©passement propre, gestion des relais, opportunisme face aux soucis adverses: il remonte dans les points avec autoritĂ© et dĂ©croche un top 10 mĂ©ritĂ©.

Classement des pilotes du Grand Prix du Mexique de F1 - Nico HĂŒlkenberg (Sauber)
Classement des pilotes du Grand Prix du Mexique de F1 - Gabriel Bortoleto (Sauber)

Chez RB (Racing Bulls), l’histoire est celle d’une monoplace plus performante en qualif qu’en rythme de course. Isack Hadjar s’était mis en position de marquer, avant une erreur au premier tour qui l’a fait dĂ©gringoler. De quoi transformer une probable P8-P10 en frustration. Yuki Tsunoda a livrĂ© l’un de ses meilleurs week-ends rĂ©cents cĂŽtĂ© rythme, mais un arrĂȘt au stand trop long a brisĂ© son Ă©lan vers le top 10. Il y avait des points dans les jambes.

Classement des pilotes du Grand Prix du Mexique de F1 - Isack Hadjar (Racing Bulls)
Classement des pilotes du Grand Prix du Mexique de F1 - Yuki Tsunoda (Racing Bulls)

Williams a connu une amplitude extrĂȘme. Carlos Sainz a livrĂ© un samedi Ă©tincelant, avant de tout perdre le dimanche: sortie au large au virage 1, dommages qui plombent la voiture, pĂ©nalitĂ©s, puis une glissade qui scelle le sort de sa course. À l’inverse, Alex Albon a luttĂ© avec le comportement de la monoplace et un pari hard long relais qui n’a jamais payĂ©. Week-end Ă  oublier pour lui malgrĂ© un effort constant en piste.

Classement des pilotes du Grand Prix du Mexique de F1 - Carlos Sainz (Williams)
Classement des pilotes du Grand Prix du Mexique de F1 - Alex Albon (Williams)

Au final, le milieu de grille a Ă©tĂ© un laboratoire de stratĂ©gies: undercut prolongĂ©, overcut opportuniste, gestion de l’undercut inversĂ© dans le trafic, et arrĂȘts au stand Ă  trĂšs haute valeur ajoutĂ©e. Ceux qui ont su « respirer » la piste au bon moment ont raflĂ© la mise.

4) Contre-performances, incidents et signaux faibles Ă  surveiller đŸ“‰âžĄïžđŸ“ˆ

Aston Martin n’a jamais trouvĂ© la fenĂȘtre. La voiture souffre historiquement Ă  Mexico, et ce week-end n’a pas dĂ©rogĂ©. Fernando Alonso a Ă©tĂ© contraint Ă  l’abandon pour surchauffe des freins aprĂšs un premier tour compliquĂ© et des dĂ©gĂąts mineurs. Lance Stroll, en difficultĂ© en qualif, a compromis sa course avec un tĂȘte-Ă -queue prĂ©coce. La marge est rĂ©elle, mais l’équipe sait que cette piste n’est pas reprĂ©sentative de son potentiel sur le reste du calendrier.

Classement des pilotes du Grand Prix du Mexique de F1 - Fernando Alonso (Aston Martin)
Classement des pilotes du Grand Prix du Mexique de F1 - Lance Stroll (Aston Martin)

Alpine a luttĂ© avec une monoplace inconfortable sur les bosses et les vibreurs. Pierre Gasly a limitĂ© la casse, profitant d’une meilleure connexion avec les rĂ©glages le samedi, mais la course s’est transformĂ©e en gestion d’écart. Jack Doohan, de son cĂŽtĂ©, a montrĂ© de belles pointes: fort vendredi, rythme compĂ©titif par sĂ©quences, mais une erreur en qualif l’a renvoyĂ© au fond. En course, une stratĂ©gie un peu trop Ă©tirĂ©e a ensuite rĂ©duit sa marge d’attaque. On retient nĂ©anmoins la vitesse intrinsĂšque, prometteuse pour la suite.

Classement des pilotes du Grand Prix du Mexique de F1 - Pierre Gasly (Alpine)
Classement des pilotes du Grand Prix du Mexique de F1 - Jack Doohan (Alpine)

Racing Bulls a laissĂ© filer des points Ă  portĂ©e de main. Isack Hadjar, bien placĂ© aprĂšs les premiers virages, a commis une faute coĂ»teuse qui l’a condamnĂ© Ă  une longue course dĂ©fensive. Yuki Tsunoda, rapide et constant, a payĂ© cash un arrĂȘt trĂšs lent. C’est frustrant, mais c’est aussi un signal: la vitesse est lĂ , et la base pour convertir existe.

Liam Lawson a vu sa course s’arrĂȘter sur des circonstances peu communes aprĂšs avoir endommagĂ© l’aileron avant dĂšs l’entame, tandis que son samedi l’avait dĂ©jĂ  placĂ© en difficultĂ©. Un week-end Ă  mettre de cĂŽtĂ© sans trop y chercher de conclusions hĂątives, tant la part d’alĂ©atoire fut grande dans son cas.

Classement des pilotes du Grand Prix du Mexique de F1 - Liam Lawson (Racing Bulls)

Enfin, rappel important cĂŽtĂ© gestion pneus: le hard prolongĂ© n’a presque jamais rĂ©compensĂ© ceux qui cherchaient Ă  l’étirer sans rythme suffisant, comme l’a illustrĂ© Alex Albon. À l’inverse, des relais calibrĂ©s pour frapper au bon moment – l’overcut rĂ©ussi de Bortoleto, l’undercut appuyĂ© d’Ocon – ont souvent Ă©tĂ© la clĂ© pour se dĂ©gager du trafic et sĂ©curiser des positions, malgrĂ© l’usure et les tempĂ©ratures parfois dĂ©licates.

Au global, Mexico agit comme un rĂ©vĂ©lateur: il met Ă  nu les forces structurelles (refroidissement, efficacitĂ© aĂ©rodynamique, motricitĂ©) et la qualitĂ© d’exĂ©cution (arrĂȘts, consignes, lecture du trafic). Dans cet exercice, McLaren et Ferrari sortent grandies, Red Bull limite trĂšs bien les dĂ©gĂąts et plusieurs Ă©curies de milieu de grille peuvent repartir avec des enseignements concrets Ă  capitaliser.

Pour clore ce tour d’horizon, voici quelques visuels clĂ©s du week-end qui ont rythmĂ© les dĂ©bats et illustrent l’ñpretĂ© des combats:

Mercedes en lutte dans le peloton - George Russell
Mercedes en lutte dans le peloton - Kimi Antonelli
Haas en progrĂšs - Esteban Ocon

Et pour mĂ©moire, quelques autres images marquantes de ce week-end mexicain, utiles pour visualiser la dynamique de chaque Ă©quipe, toutes reformulĂ©es et sans mention d’auteurs externes:

Red Bull en gestion stratégique - Max Verstappen
Ferrari solide Ă  haute altitude - Charles Leclerc
McLaren résistante - Oscar Piastri

Au moment de refermer ce chapitre mexicain, une certitude s’impose: le titre se jouera autant sur la vitesse pure que sur l’art de survivre au trafic, Ă  la tempĂ©rature et aux dĂ©tails d’exĂ©cution. Dans cette Ă©quation, McLaren et Ferrari apparaissent en pleine confiance, Red Bull demeure une force capable d’optimiser au cordeau, et le milieu de grille, plus dense que jamais, promet de dĂ©cider le sort de nombreux points cruciaux.

Que retenir pour la suite? Norris semble avoir enclenchĂ© sa vitesse de croisiĂšre, Bearman a gagnĂ© une vraie reconnaissance dans le peloton, Leclerc et Ferrari gardent le cap avec propretĂ©, et Verstappen reste redoutable mĂȘme quand tout n’est pas idĂ©al. DerriĂšre, plusieurs jeunes – Bortoleto, Antonelli, Hadjar – Ă©crivent des pages importantes de leur montĂ©e en puissance, parfois dans l’ombre des leaders, souvent au cƓur de duels qui façonnent la hiĂ©rarchie de demain.

Phrase finale inspirante: Au-delĂ  des podiums, c’est la somme des petits gestes – un freinage plus tardif, un arrĂȘt parfait, un relais mieux cadencĂ© – qui transforme une saison: continuez Ă  viser la prĂ©cision, et la victoire viendra Ă  vous. đŸ’«

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