Citroën fait son entrée fracassante en Formule E : enjeux, ambitions et défis à relever 🚗⚡

🚀 Un nouveau chapitre pour Citroën : cap sur la Formule E !
L'année 2025 marque un tournant décisif pour Citroën, qui prend le relais de Maserati au sein de l'équipe MSG en Formule E. Bien qu'encore discrète en monoplace, la marque aux chevrons a su marquer de son empreinte les compétitions internationales grâce à son engagement sans faille. Alors que la grille officielle n’est pas totalement révélée, l’alliance annoncée de Nick Cassidy et Jean-Éric Vergne promet de faire vibrer le paddock dès l’ePrix de São Paulo en décembre !
L’histoire d’amour de Citroën avec la compétition automobile s’enrichit d’un nouveau pan, qu’elle n’avait plus approché depuis son retrait du Championnat du Monde des Rallyes (WRC), après avoir décroché neuf titres glorieux avec Sébastien Loeb en 2019. Quelles sont les raisons qui poussent aujourd’hui Citroën à relever le défi de la Formule E ?
🌟 Héritage sportif et ADN de l’innovation

Au cœur du site Satory près de Paris — siège du département Motorsport de Stellantis — se dresse en majesté une Citroën DS3 WRC, témoin d’une époque glorieuse où Loeb et la marque dominaient la scène mondiale. Fondée en 1919, Citroën s’est toujours distinguée par son audace, illuminant par exemple la Tour Eiffel avec ses célèbres chevrons, symbole d’innovation.
Mais l’empreinte de Citroën va bien au-delà du rallye. Dès les années 1960, elle s’illustre au Monte Carlo, puis brille en rallycross avec Jean-Luc Pailler (BX Xantia) et Kenneth Hansen (ZX), ce dernier accumulant dix titres remarquables dans différentes catégories de la discipline. Plus tard, sur les circuits du Championnat du Monde des Voitures de Tourisme (WTCC), Citroën décroche trois titres consécutifs grâce à José-Maria Lopez (2014-2016), sans oublier ses succès en rallye-raid avec Ari Vatanen et Pierre Lartigue sur les Dakar des années 1990.

Si la marque est moins connue pour son aventure en monoplace — une furtive participation entre les années 1960 et 1970 via la Citroën-Panhard X27 en Formule Bleue — son identité est solidement ancrée dans l’innovation, qu’elle s’agisse de dynamiser la production automobile ou de repousser les frontières en compétition.
En rejoignant la Formule E, Citroën renoue avec cette tradition d’avant-garde : tous ses modèles de série bénéficient désormais d’une offre électrique ou hybride, à l’image du récent C5 Aircross, ainsi que d’offensives commerciales renouvelées qui placent l’électrification au cœur de sa stratégie.
⚡ Citroën et l’ère de l’électrification : un positionnement visionnaire

La décision de Stellantis — maison-mère de Citroën — de modifier les cartes pour la nouvelle ère Gen4 de la Formule E, prévue fin 2026, s’ancre dans un contexte de transition électrique majeure. Maserati, freiné par la réduction de sa gamme électrique, a cédé sa place à une Citroën résolument tournée vers l’avenir et la mobilité durable.
Rallier la Formule E, ce n’est pas seulement afficher de hautes ambitions sportives, mais aussi proposer un laboratoire technologique en conditions extrêmes. L’électronification des Citroën prend ainsi une dimension spectaculaire sur la scène internationale, avec la firme française qui entend faire rimer performances en course et transfert de technologies vers la gamme de série.
Stellantis opte pour une stratégie affirmée : stabiliser la présence de Citroën en Formule E via l’équipe MSG, retrouver la notoriété sportive et préparer les futures générations de véhicules. En parallèle, la marque DS intègre la dynamique avec Penske, tout en préparant une potentielle évolution vers un partenariat client à l’occasion de la Gen4. Opel, autre marque de Stellantis, prépare également sa propre offensive. Citroën se positionne donc comme la figure de proue de l’engagement du groupe français sur ce circuit d’avenir.
🚦 La transition après Maserati : défis organisationnels et ambitions renouvelées

L’expérience Maserati en Formule E, brève mais instructive, a mis en lumière la complexité de trouver l’équilibre entre ambition et viabilité commerciale. Malgré quelques victoires notables grâce à Maximilian Günther et Stoffel Vandoorne, le manque d’engagement et de ressources a limité le succès du projet. Les relations avec MSG ont été marquées par des difficultés structurelles qui ont finalement précipité le retrait de la marque italienne.
Citroën hérite donc d’une structure solide mais qui doit retrouver de l’élan. Avec l’apport du groupe Stellantis, l’identité sportive et la stabilité financière sont renforcées, offrant un socle idéal pour le développement futur. MSG bénéficie du savoir-faire français et va capitaliser sur cette nouvelle dynamique pour optimiser la préparation de la Gen4, période charnière qui devrait voir une relocalisation stratégique de l’équipe à Satory, au plus près du centre d’innovation Citroën.
Pour la saison à venir, Citroën alignera la même technologie que DS Penske et la redoutable équipe MSG – auparavant victorieuse avec Maserati – sur la grille. Mais au-delà des défis organisationnels, la bataille se jouera d’abord sur la piste avec l’excellence des pilotes et le talent des ingénieurs !
🏁 Citroën peut-elle s’imposer dès ses débuts ? État des lieux et perspectives
Le duo Nick Cassidy (installé à proximité du siège MSG à Monaco) et Jean-Éric Vergne (figure emblématique du Groupe Stellantis) constitue l’un des binômes les plus expérimentés de la grille. Toutefois, annoncer un Citroën champion du monde en 2026 relèverait de l’exploit. En effet, l’équipe de Monaco est reconnue pour ses partenaires techniques, mais reste encore en phase de transition vis-à-vis des géants du plateau.
Pour Citroën, la priorité sera donc de structurer une équipe compétitive, renforcer ses ressources en ingénierie, et capitaliser sur l’expertise de ses pilotes pour préparer la Gen4. Cassidy et Vergne feront partie intégrante de cette aventure, apportant leur expérience et leur flair à la mise au point d’une auto capable de rivaliser avec les références de la discipline.
La saison actuelle visera autant à la mise en place de nouveaux processus qu’à une conquête progressive des podiums. La bascule du centre technique de Monaco vers Satory posera les bases d’une ère nouvelle pour Citroën en Formule E, avec une ambition claire : se hisser au sommet et incarner le renouvellement de la marque sur l’échiquier international.
Quant à DS, si son avenir au sein de la Formule E reste incertain, Citroën s’affirme comme l’ambassadeur du renouveau électrique du groupe. Cette dynamique pourrait bien servir de tremplin à d’autres marques du groupe, engagées dans la même révolution électrique.
🎯 Une inspiration pour tous : l’avenir de Citroën en Formule E
En s’engageant dans la plus prestigieuse des compétitions électriques, Citroën nous rappelle que l’innovation, la passion pour le sport automobile et l’audace sont les moteurs du progrès. L'intégration de la marque en Formule E marque un engagement fort en faveur de la transition énergétique, tout en offrant un spectacle technologique et sportif de haut vol à ses fans.
La Formule E n’est plus seulement un laboratoire pour les constructeurs automobiles, mais plutôt un véritable terrain de jeux pour imaginer la mobilité de demain. Citroën, héritière d’un passé glorieux et résolument tournée vers l’avenir, entend bien tirer parti de cette expérience pour continuer à surprendre et inspirer. Que l’aventure commence !
Le futur appartient à ceux qui osent l’électrifier. Citroën, avec sa vision, sa tradition et sa passion, s’élance vers ce nouveau défi avec une énergie débordante ! ✨
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