Ferrari Elettrica ⚡ La supercar 100 % électrique aux 1 000+ ch qui électrise l’émotion

Ferrari change d’ère. Avec la Ferrari Elettrica, la maison de Maranello signe sa première supercar de série 100 % électrique et promet de conserver l’ADN performance de la marque tout en adoptant une architecture à batteries de dernière génération. L’objectif n’est pas de suivre la tendance, mais de la redéfinir : viser une dynamique de conduite de pur-sang, des sensations à la hauteur d’un V12 moderne, et un nouveau langage émotionnel, jusque dans la signature sonore du véhicule, travaillée comme une guitare électrique.

La fiche d’identité est à la fois simple et radicale : plus de 1 000 chevaux, une plateforme dédiée où chaque module est pensé pour optimiser le centre de gravité et la rigidité, et un travail d’intégration in-house sur les moteurs, le châssis et les modes de conduite. Plus qu’une voiture, l’Elettrica se présente comme un manifeste : la performance et l’électrification peuvent non seulement coexister, mais également s’amplifier.

Au-delà des chiffres, Ferrari mise sur une orchestration fine des sensations : retour d’information dans le volant et les pédales, gestion active du couple sur chaque roue, calibration des suspensions, et un paysage sonore inédit conçu pour stimuler le conducteur sans trahir l’essence de la marque. Le tout en introduisant des matériaux plus responsables et des processus à l’empreinte optimisée, sans compromis sur le raffinement artisanal qui fait la réputation de Maranello.

Le calendrier, lui, suit une montée en puissance maîtrisée : dévoilement progressif de l’habitacle avant la révélation complète, puis lancement commercial dès 2026. Un temps précieux pour peaufiner les derniers détails et orchestrer une arrivée à la hauteur de l’attente suscitée par la première Ferrari électrique de série.


⚙️ Architecture électrique et performances de supercar 🚀

La Ferrari Elettrica s’appuie sur une architecture 100 % électrique conçue sur mesure. Cette base dédiée permet de placer précisément les modules de batterie afin d’obtenir un centre de gravité bas et idéalement positionné, tout en répartissant les masses pour une agilité maximale. Contrairement à l’adaptation d’une plateforme thermique, ce choix d’ingénierie donne à Ferrari la liberté de sculpter la dynamique de conduite dès le premier coup de crayon.

Résultat : une supercar électrique qui revendique une puissance dépassant les 1 000 ch. Cette cavalerie, délivrée par des moteurs électriques développés en interne, promet des accélérations foudroyantes et une allonge digne des meilleures Ferrari à combustion. La réponse à la pédale est instantanée, mais calibrée pour rester progressive et exploitable sur route comme sur circuit.

L’aérodynamique joue, elle aussi, un rôle majeur. Bien que Ferrari n’ait pas encore levé le voile sur tous les détails, on peut s’attendre à un travail d’harmonisation entre refroidissement des moteurs et des batteries, appuis haute vitesse et trainée contenue. Les aérations, canaux et diffuseurs devraient être intégrés avec l’élégance qu’on connaît à la marque, au service de l’efficacité énergétique et de la stabilité à très haute vitesse.

Cette approche holistique débouche sur une promesse claire : l’Elettrica ne sera pas seulement rapide en ligne droite. Elle vise à restaurer l’émotion qui distingue une Ferrari d’une autre supercar, en exploitant l’électrique comme un accélérateur de sensations plutôt que comme une simple alternative « propre ».

Points-clés de l’architecture et de la performance :

  • Plateforme électrique dédiée pour une rigidité remarquable et une répartition des masses optimale.
  • Plus de 1 000 ch délivrés par des moteurs maison, avec gestion fine du couple.
  • Centre de gravité bas, batteries positionnées pour favoriser les changements d’appui rapides.
  • Aérodynamique active probable, au service de l’appui et de l’efficience.
  • Accélération et vitesse de pointe au niveau des Ferrari thermiques les plus performantes.

Autre priorité : la constance de la performance. Un système thermique intelligent devrait maintenir la température des batteries et des moteurs dans la fenêtre idéale, pour enchaîner tours rapides et routes de montagne sans dégradation notable des sensations. Le but n’est pas seulement d’impressionner sur 0–100 km/h, mais de tenir le rythme sur la durée.


🧠 Technologies in‑house : moteurs, châssis et logiciel au service du conducteur 🔧

La Ferrari Elettrica se distingue par une intégration poussée des composants clés, entièrement maîtrisés en interne. Cette philosophie garantit l’alignement entre hardware et software, et surtout la fidélité au « toucher Ferrari » qui fait la différence.

Moteurs électriques : développés par Ferrari, ils sont conçus pour combiner densité de puissance, compacité et gestion fine du couple. L’objectif est de délivrer une poussée qui reste lisible, pour que le conducteur anticipe et pose la voiture avec confiance en entrée comme en sortie de virage.

Châssis et suspensions : la calibration adopte les codes d’une sportive de Maranello. Attendez-vous à une direction chirurgicale, un ressenti précis sur les micro‑variations d’adhérence, et des suspensions adaptatives qui savent à la fois filtrer, soutenir et verrouiller le roulis quand il le faut.

Gestion logicielle et modes de conduite : le célèbre esprit Manettino trouve une nouvelle expression à l’ère électrique. Chaque mode pourrait orchestrer puissance, motricité, freinage régénératif et aéro pour créer des personnalités de conduite distinctes. L’enjeu : rester fidèle à l’intuition du pilote. Les transitions entre les modes doivent être naturelles, sans rupture, avec une montée ou une réduction de la vigueur thermiquement « crédibles ».

Vectorisation du couple : avec plusieurs moteurs, la répartition du couple roue par roue permet une agilité transcendée et une stabilité bluffante sur l’angle. En clair, la voiture vous aide à viser au cordeau, tout en laissant le pilote exprimer sa sensibilité. C’est la sophistication au service du plaisir, pas l’inverse.

Freinage : l’équilibre entre régénération et friction est essentiel pour conserver une attaque de pédale naturelle. Ferrari travaille cette zone grise pour que l’Elettrica freine comme une voiture de sport, avec une consistance et une endurance exemplaires, mais en récupérant un maximum d’énergie lorsqu’il est pertinent de le faire.

En combinant ces briques, Ferrari propose une expérience technique qui sert un objectif unique : renforcer le lien entre la machine et le conducteur. L’électron n’efface pas la sensibilité, il la décuple, pour peu que le logiciel soit à la hauteur. C’est le pari de l’Elettrica.


🎸 Une signature sonore travaillée comme une guitare électrique 🔊

Le son fait partie de l’émotion Ferrari. En basculant à l’électrique, la marque ne se contente pas d’un silence clinique : elle compose une nouvelle signature sonore, décrite comme une réminiscence de guitare électrique. Le but n’est ni de singer un V12 ni de saturer l’habitacle. Il s’agit de créer une bande-son utile et sensuelle, en conformité avec les normes acoustiques des véhicules électriques.

Concrètement, cette approche peut jouer sur plusieurs leviers :

  • Harmoniques riches qui évoluent avec la charge et la vitesse, pour signifier l’effort mécanique.
  • Spatialisation soignée afin de positionner le son de manière cohérente avec les sources physiques (moteurs, flux aéro).
  • Calibration adaptative selon les modes de conduite : plus feutrée en usage quotidien, plus expressive en mode sport.
  • Feedback utile pour aider à doser l’accélérateur, anticiper la régénération et ressentir l’adhérence.

L’enjeu est artistique autant que technique : écrire un langage sonore inédit qui reste authentiquement Ferrari. Au volant, le conducteur doit ressentir la montée en tension comme une montée de gamme sur un instrument, passer d’un riff précis à un solo enivrante quand la route se libère, sans jamais tomber dans le gadget artificiel.

Cette identité acoustique, conçue in-house, accompagnera la scalabilité de la plate-forme : la même philosophie sonore pourra s’affiner au fil des évolutions de l’Elettrica ou d’éventuelles déclinaisons. C’est une nouvelle lutherie automobile que Ferrari inaugure ici.


🌿 Design, matériaux responsables et cap sur 2026 📅

À l’intérieur comme à l’extérieur, la Ferrari Elettrica doit concilier élégance intemporelle et exigences modernes. Le poste de conduite reste centré sur le pilote, avec un mobilier épuré, des matériaux finement assemblés et des interfaces pensées pour rester lisibles à haute vitesse.

Dans l’habitacle, Ferrari intègre des choix plus durables dès que possible : cuirs issus de filières à empreinte contrôlée, alternatives biosourcées, fibres techniques recyclées, et finitions plus vertueuses sans renoncer au luxe sensoriel. Ces décisions s’ajoutent à une gestion plus responsable des procédés, de la production à la logistique.

Côté expérience numérique, l’idée n’est pas de saturer l’œil : Ferrari privilégie des interfaces sobres et à faible latence, au service de la conduite. Les informations de performance, d’énergie et de navigation sont hiérarchisées, avec une cartographie claire de la consommation et de la récupération pour maîtriser son autonomie au quotidien. Les aides à la conduite, discrètes, doivent compléter le talent du pilote sans jamais s’imposer.

Sur le plan du calendrier, la firme prévoit un dévoilement intérieur par phases — une manière d’orchestrer l’attente et de peaufiner l’expérience — avant une entrée en scène sur le marché dès 2026. Cette montée en charge programmée laisse le temps d’ajuster chaque détail et d’aligner la chaîne logistique avec les standards de qualité Ferrari.

Quant à l’usage, l’Elettrica s’inscrit dans une vision pragmatique de l’électrique hautes performances :

  • Gestion intelligente de l’énergie pour concilier plaisir et efficience, sur route comme sur piste.
  • Profilage des trajets avec planification de la recharge, compatible avec les réseaux haute puissance.
  • Mises à jour logicielles destinées à affiner la réponse du châssis, la stratégie de régénération et l’ergonomie des interfaces.

L’essentiel, toutefois, tient en une phrase : la Ferrari Elettrica ne cherche pas à remplacer une Ferrari thermique à l’identique ; elle veut inventer une nouvelle manière d’être Ferrari, fidèle à l’esprit de la maison, accordée au temps présent.

📷: FERRARI


FAQ express pour mieux comprendre la Ferrari Elettrica

La Ferrari Elettrica dépasse-t-elle les 1 000 ch ?
Oui, Ferrari annonce une puissance supérieure à 1 000 chevaux, au niveau des modèles thermiques les plus performants de la marque.

La technologie est-elle développée en interne ?
Oui, Ferrari conçoit et intègre en interne des éléments clés, notamment les moteurs électriques, le châssis, les modes de conduite et la signature sonore.

À quoi ressemble la sonorité ?
Elle est ingéniée pour évoquer une guitare électrique, afin de générer un retour émotionnel cohérent avec l’ADN Ferrari tout en respectant les normes acoustiques des véhicules électriques.

Quand est prévu le lancement ?
Après des phases de présentation de l’intérieur, la commercialisation est annoncée à partir de 2026.


Conclusion inspirante :
À travers l’Elettrica, Ferrari ne tourne pas la page — elle en compose une nouvelle, amplifiée par l’énergie électrique : même passion, nouvelle fréquence.

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