🏎️ McLaren survole le GP d'Autriche avec un doublé écrasant !


Dimanche dernier, alors que les équipes de Formule 1 rangeaient déjà leurs équipements, McLaren célébrait encore longuement son doublé historique au Grand Prix d'Autriche. Lando Norris et Oscar Piastri ont offert un spectacle de course exceptionnel à leurs fans, dominant largement leurs concurrents avec plus de vingt secondes d'avance à l'arrivée. Retour sur cette victoire impressionnante et les clés du succès de cette équipe emblématique.
🚦 Qualification : Norris intouchable sur le Red Bull Ring

Dès les qualifications, Lando Norris a affiché un rythme phénoménal sur la piste autrichienne, connue pour ses virages rapides et techniques propices à son style de pilotage incisif. Grâce à une nouvelle suspension apportant davantage de confiance et de retour pour Norris, le pilote britannique a décroché une pole position incontestable, distançant ses rivaux d’une marge confortable. De son côté, Oscar Piastri, perturbé par des drapeaux jaunes en fin de séance, s’est contenté de la troisième position, ce qui augurait tout de même un duel interne passionnant pour le lendemain.
🔥 Stint 1 : Duel intense dès les premiers virages

Le départ a été lancé sous des températures avoisinant les 50°C sur la piste. Dès les premiers mètres, Norris tente de distancer ses rivaux, mais Piastri profite rapidement des difficultés de Charles Leclerc pour prendre directement la deuxième position et se positionner derrière son coéquipier.
Dès lors, une lutte acharnée s'engage entre les deux pilotes McLaren. Piastri, bénéficiant régulièrement du DRS, maintient une pression constante sur Norris, tentant même de surprendre ce dernier au virage 4 après une manœuvre audacieuse. Cependant, cette tentative échoue, entraînant un léger blocage des pneus de Piastri qui aura des conséquences importantes pour le reste de la course.
🔧 Stint 2 : Stratégie ingénieuse au stand pour Norris

Après l'erreur de Piastri, flat-spotant ses pneumatiques, Norris et son ingénieur saisissent immédiatement l'opportunité stratégique en ravitaillant au tour suivant. Cette décision a forcé Piastri à prolonger légèrement son premier relais malgré ses pneus endommagés.
Finalement, Piastri reprend la piste avec quatre tours de décalage sur Norris, bénéficiant en théorie d'une meilleure gestion des pneus. Mais l'écart réalisé par Norris — impressionnant de régularité avec des pneus durs — reste conséquent, obligeant Piastri à repousser ses limites pour réduire cette distance.
🏁 Stint 3 : Fin de course palpitante dans le trafic

La dernière partie de la course a ravi tous les passionnés présents sur le Red Bull Ring. Les deux pilotes McLaren, chaussés de pneus mediums neufs identiques, se sont engagés dans un véritable match acharné au milieu du trafic dense des retardataires.
Pendant plusieurs tours, l'écart entre Norris et Piastri oscille autour de la zone critique d'une seconde, permettant potentiellement à Piastri de récupérer le bénéfice du DRS. Norris réussit néanmoins à garder Piastri hors de portée en adoptant une conduite défensive exemplaire. La pression et l'intensité montent crescendo jusqu'au moment où Piastri, gêné dans un dépassement par un pilote retardataire, perd de précieuses secondes. Cette mésaventure met définitivement Norris à l’abri, permettant à ce dernier de filer vers la victoire.
💡 Pourquoi McLaren dominait-elle autant en Autriche ?

Plusieurs facteurs expliquent le niveau exceptionnel affiché par McLaren sur ce Grand Prix d'Autriche. Tout d'abord, l'absence inhabituelle de Max Verstappen dans la bataille pour la victoire, victime de circonstances malheureuses dès les qualifications puis dès le premier tour de course, modifie considérablement la dynamique habituelle du peloton.
Mercedes, pourtant victorieuse précédemment à Montréal, s'est vue considérablement handicapée par des problèmes récurrents de surchauffe des pneus arrière, laissant la voie libre à une McLaren bien supérieure aux autres équipes.
Quant à Ferrari, malgré la présence régulière de Charles Leclerc parmi les leaders, l'équipe souffrait cette fois-ci de contraintes liées à une usure excessive de son fond plat, obligeant ses pilotes à un régime drastique d’économie durant une grande partie de la course.

Mais le facteur déterminant reste évidemment la McLaren elle-même. Avec de nouvelles évolutions aérodynamiques et une suspension arrière retravaillée spécialement pour ce genre de tracé rapide et chaud, l'équipe a montré une performance et une gestion de pneus que personne n'était en mesure d'égaler.
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