Abou Dhabi EL2 : Norris frappe fort, Verstappen derrière et un peloton chamboulé 🔥

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Abou Dhabi EL2 : Norris frappe fort, Verstappen derrière et un peloton chamboulé 🔥
La deuxième séance d’essais libres du Grand Prix d’Abou Dhabi a offert un avant-goût riche en enseignements pour la fin de semaine. Lando Norris a conclu EL2 au sommet de la feuille des temps grâce à un tour de 1’23”083, reléguant Max Verstappen à 0”363 et George Russell à 0”379. Derrière ce trio familier, le classement a toutefois réservé plusieurs surprises, avec une Haas incisive et une Sauber percutante, tandis que Ferrari et une partie du milieu de grille ont semblé à contretemps. À la clé, un scénario ouvert où la gestion des pneus et l’exécution en qualification pourraient tout chambouler.

Cette EL2, disputée dans des conditions proches de celles de la course, a aussi été marquée par une bascule précoce vers les simulations de long relais, plus tôt que sur d’autres circuits. Résultat : moins de tentatives de tours rapides, plus d’erreurs individuelles amplifiées, et un ordre parfois trompeur. Oscar Piastri, de retour dans la McLaren après avoir cédé son baquet à Pato O’Ward en EL1, a notamment compromis son tour rapide par un gros plat au virage 6, terminant 11e. À l’autre bout du spectre, des rookies et jeunes talents ont saisi l’opportunité de briller, à l’image d’Ollie Bearman ou Isack Hadjar.
McLaren au-dessus du lot, incident avec Verstappen et rythme de course prometteur 🚀
La McLaren de Lando Norris a semblé prête pour le sprint final de la saison. Sur les tours rapides, le Britannique a assemblé un passage propre dans les secteurs clés de Yas Marina, alliant stabilité au freinage et motricité sereine à la réaccélération. Son tour en 1’23”083 lui a offert une marge solide sur Verstappen, ce qui n’est pas si fréquent dans les conditions représentatives du soir à Abou Dhabi. C’est moins le temps lui-même que la forme d’ensemble de McLaren qui interpelle : la voiture a paru facile à placer, avec une exploitation convaincante du train de pneus tendre, et une bonne capacité à rééditer des temps stables.
La séance a toutefois été piquée par un incident entre Norris et Verstappen dans le premier secteur, quelques instants où une communication radio confuse a laissé la Red Bull sur la trajectoire alors que Norris lançait un tour. Rien de dramatique, mais suffisamment pour illustrer à quel point l’EL2, souvent jugée technique et « froide », peut tendre les nerfs lorsque la fenêtre de performance est réduite. Norris n’en est pas resté là, convertissant sa colère en vitesse pure, pendant que Red Bull affinait ses réglages pour comprendre une voiture certes compétitive, mais un brin tatillonne sur l’équilibre.
Sur les longs relais, McLaren a aussi montré une réelle consistance. L’usure apparente restait contrôlée, avec peu de chute brutale après trois à quatre tours lancés. La grande inconnue demeure l’évolution de piste du samedi soir, souvent sensible à Abou Dhabi, et la manière dont la McLaren va tolérer une hausse des températures du bitume si le vent tourne. Mais à ce stade, Norris a mis la barre haut – suffisamment pour projeter McLaren comme favorite pour la pole provisoire, tout en restant prudente face à la constante capacité d’ajustement de Red Bull entre EL2 et qualifications.
Red Bull et Verstappen : un retard relatif, mais des réponses attendues 🔧
Max Verstappen termine deuxième, à 0”363. L’écart est notable, mais pas irréversible. Les données de Red Bull laissent penser à une fenêtre de fonctionnement à affiner, notamment dans la transition rapide-moyen du deuxième secteur, où la Red Bull a semblé chercher de l’adhérence en appuis soutenus. Ce n’est pas un handicap structurel : à Abou Dhabi, Red Bull a l’habitude de peaufiner son package entre EL2 et EL3, puis de maximiser chaque opportunité en Q3 avec un plan de chauffe pneus millimétré. L’incident avec Norris a aussi pu rogner un peu de rythme au meilleur moment, sans remettre en cause la compétitivité globale de la RB.
Sur la gestion pneus, Verstappen a signé des séquences de long relais cohérentes, avec un niveau de dégradation proche de McLaren. Si l’équilibre au freinage et la stabilité en entrée ont parfois nécessité des micro-corrections, la traction demeure un point fort, de quoi bien gérer la sortie des virages 6 et 7 – des zones cruciales pour se mettre en action avant les longues lignes droites. Sauf surprise, Red Bull devrait se rapprocher samedi, et la bagarre pour la pole s’annonce comme un Norris vs Verstappen dont George Russell pourrait être l’arbitre.
Mercedes en embuscade : Russell solide, Antonelli apprend vite 🛠️
George Russell boucle le trio de tête à 0”379 de Norris et signe une EL2 propre, presque clinique. La Mercedes s’est montrée stable dans les changements d’appuis et relativement bien équilibrée dans le dernier secteur, là où la précision au freinage et la motricité fine font souvent la différence. L’équipe a manifestement trouvé une base qui lui permet d’oser des micro-variations d’aileron et de différentiel, sans perdre le fil sur les longs relais. La vitesse pure de Russell, couplée à la capacité habituelle de Mercedes à monter en puissance le samedi, laisse la porte ouverte à une belle surprise en Q3.
Kimi Antonelli signe le 10e temps, à 0”667, ce qui en dit déjà beaucoup sur le niveau d’adaptation du jeune pilote. Contrarié par une Haas d’Esteban Ocon qui l’a gêné au virage 6 – incident sans suite pour les commissaires – Antonelli n’a pas pu montrer tout son potentiel sur son tour le plus rapide. Néanmoins, ses partiels indiquent une marge encore exploitable : s’il parvient à lier secteur 1 et secteur 3 avec le même mordant qu’au secteur 2, il pourrait grimper de quelques places en qualification. L’apprentissage se poursuit avec de la méthode, et cela se voit dans la régularité de ses longs relais.
Haas et Sauber, les révélations du jour : Bearman rayonne, Hulkenberg et Bortoleto confirment 🌟
La surprise principale du haut de tableau s’appelle Ollie Bearman. Le Britannique, très tôt en pneus tendres, a multiplié les améliorations et s’offre un prestigieux quatrième temps à seulement 0”418 de Norris. « La voiture est incroyable, je ne sais pas pourquoi elle est aussi bonne », a-t-il lancé à la radio. Au-delà de la phrase qui tourne en boucle, c’est la facilité apparente avec laquelle il a enchaîné les secteurs qui impressionne. Haas a visiblement trouvé une fenêtre d’exploitation idéale pour le train avant, permettant à Bearman d’attaquer le virage 6 en confiance et de ressortir fort pour enclencher la pleine charge sur la ligne droite suivante.
Derrière lui, la double présence de Sauber dans le top 6 – Nico Hulkenberg cinquième et Gabriel Bortoleto sixième – est tout sauf anecdotique. Cette solidité conjointe intervient alors que Sauber chasse Haas au classement des constructeurs, avec sept points de retard. Techniquement, la voiture a montré un bon compromis d’appuis, offrant à la fois stabilité en virages lents et précision dans les enchaînements. Sur la durée, la gestion des pneus sera clé pour transformer l’essai. Mais en pure performance EL2, Hulkenberg et Bortoleto ont envoyé un message : ils sont là, et ils ont un package pour se battre dans le top 10.
Ferrari en clair-obscur : Leclerc avance, Hamilton contrarié 🔴
Chez Ferrari, la photo n’est pas totalement lumineuse. Charles Leclerc prend la 8e place à 0”575, un écart qui reste décent au vu du potentiel intrinsèque de la SF. Il a livré une séance appliquée et sans éclat, capitalisant sur une base solide sans réussir à extraire le grand tour. En face, Lewis Hamilton n’a pas pu défendre ses chances à cause d’un souci lors de son ultime tentative, échouant en 14e position. Ce différentiel interne ne reflète sans doute pas la hiérarchie réelle : si le problème d’Hamilton est résolu, la Ferrari peut viser le top 10, voire s’inviter dans le débat du top 6 en qualification sur un tour parfaitement exécuté.
Le vrai sujet, du côté de Maranello, réside dans la constance sur les longs relais. La voiture a tendance à réclamer de la douceur en sortie et une grande discipline à l’entrée pour ne pas surchauffer les pneus arrière. Si Ferrari trouve le réglage anti-sursaut de température et optimise la préparation de tour, l’équipe pourra se replacer. En attendant, l’écart à McLaren et Red Bull semble réel sur le tour, mais pas irrattrapable sur une piste souvent piégeuse quand la brise évolue.
Jeunes loups et outsiders : Hadjar dans le rythme, Stroll, Sainz et Albon en chasse 🐺
Isack Hadjar hisse sa Racing Bulls au 7e rang, à 0”574. Le Français a préféré une approche énergique en début de séance avec des tendres rapidement montés en température, et s’est offert un tour de très belle facture. Derrière, Fernando Alonso place l’Aston Martin 9e, ce qui reste conforme aux attentes et au plan de travail orienté course de l’équipe. Lance Stroll, 12e, a davantage lesté sa séance d’évaluations de réglages et devrait naturellement se rapprocher samedi.
Chez Williams, Carlos Sainz classe la voiture 13e à 0”789 et Alex Albon 15e à 0”867. Rien d’inquiétant, la séance ayant basculé tôt en mode long relais pour beaucoup de pilotes, réduisant le nombre de tours « all-in ». Du côté d’Alpine, Franco Colapinto (19e) et Pierre Gasly (20e) ferment la marche avec des écarts conséquents, mais l’équipe a surtout testé des configurations de hauteur de caisse et de diff qui l’ont tenue éloignée de son pic de performance instantané. Dans le contexte d’Abou Dhabi, mieux vaut parfois accepter une EL2 laborieuse pour sécuriser un dimanche plus abouti.

Ce que disent les relais longs : dégradation maîtrisée, fenêtre de pneus délicate 🧪
Abou Dhabi, surtout dans les conditions nocturnes, récompense les voitures qui savent échauffer leurs pneus juste ce qu’il faut, ni trop ni trop peu. L’EL2 de ce vendredi a mis en évidence des dégradations relativement maîtrisées pour les leaders, avec une chute de performance progressive plutôt que brutale. McLaren et Red Bull sont au coude-à-coude dans cet exercice, Mercedes un cran derrière mais très régulière, ce qui peut payer sur les relais médiums de la course.
Le point clef reste la préparation du tour rapide en qualification. Yas Marina réclame une montée en température uniforme : si l’avant glisse au secteur 1, le pilote aura tendance à forcer l’appui au secteur 2, ce qui use l’arrière et ruine souvent la dernière partie du tour. McLaren a semblé la plus « plug & play » dans cet équilibre, quand Red Bull devra soigner ses micro-ajustements d’assiette et ses cloisons d’ailerons pour ne pas perdre la voiture dans la mise en appui.
Les équipes ont aussi, pour beaucoup, réduit le nombre de tours rapides purs pour basculer tôt en mode course. Cela explique des écarts parfois surprenants et des positions qui ne reflètent pas entièrement la hiérarchie. Concrètement, attendez-vous à des améliorations substantielles samedi : la piste va encore gagner en grip, et une meilleure séquence de préparation de pneus peut inverser deux ou trois rangs à performances intrinsèques équivalentes.
Ce qu’il faut surveiller avant EL3 et la qualification 👀
Avant EL3, plusieurs points clés vont focaliser l’attention des stratèges :
- La trajectoire au virage 6 et la relance vers la ligne droite : zone sensible pour l’équilibre freinage/traction et les dépassements en course.
- L’évolution du vent en soirée : quelques km/h en plus ou un angle modifié peuvent changer la stabilité au secteur 3.
- La fenêtre de pneus tendres à un tour : trouver la bonne pression et la bonne séquence d’échauffe est crucial pour la Q3.
- La gestion des freins et des températures en paquet : en course, l’air chaud piégé peut pénaliser consommation et dégradation.
- La stratégie multi-arrêts : selon la dégradation, une fenêtre à deux arrêts pourrait redevenir viable, surtout si un Safety Car intervient.
Classement complet EL2 🏁
1 Lando Norris (McLaren) 1m23.083s
2 Max Verstappen (Red Bull) +0.363s
3 George Russell (Mercedes) +0.379s
4 Ollie Bearman (Haas) +0.418s
5 Nico Hulkenberg (Sauber) +0.467s
6 Gabriel Bortoleto (Sauber) +0.487s
7 Isack Hadjar (Racing Bulls) +0.574s
8 Charles Leclerc (Ferrari) +0.575s
9 Fernando Alonso (Aston Martin) +0.625s
10 Kimi Antonelli (Mercedes) +0.667s
11 Oscar Piastri (McLaren) +0.680s
12 Lance Stroll (Aston Martin) +0.749s
13 Carlos Sainz (Williams) +0.789s
14 Lewis Hamilton (Ferrari) +0.856s
15 Alex Albon (Williams) +0.867s
16 Esteban Ocon (Haas) +0.875s
17 Yuki Tsunoda (Red Bull) +1.220s
18 Liam Lawson (Racing Bulls) +1.391s
19 Franco Colapinto (Alpine) +1.688s
20 Pierre Gasly (Alpine) +1.880s
Stratégies potentielles et clés de la course 🧭
Si la hiérarchie reste serrée en tête, le déroulé de la course pourrait se jouer sur des détails de stratégie et d’exécution :
- Fenêtre d’arrêt élargie : avec une dégradation modérée, les écuries ont plus de liberté pour s’extraire du trafic.
- Undercut vs overcut : Yas Marina tend à favoriser l’undercut si les pneus frais montent vite en température, mais un overcut peut fonctionner si l’air propre prime.
- Choix des composés : tendre pour la qualif, médium pour la flexibilité en course, dur possible si la température grimpe ou si la gestion devient primordiale.
- Gestion du trafic : s’insérer derrière un peloton plus lent coûte cher au secteur 3 ; un arrêt anticipé peut éviter cette perte.
- Fenêtre Safety Car : historique propice à un SC tardif ; les équipes devront conserver un plan B agressif.
Focus pilotes : les points à surveiller en Q3 🎯
Trois scénarios se détachent pour la bataille de la pole :
- Norris en forme « point d’orgue » : s’il reproduit sa propreté au freinage et sa traction, il restera l’homme à battre.
- Réveil Red Bull : Verstappen améliore souvent d’un cran entre EL2 et Q3, notamment sur la préparation de pneus et la précision en courbe longue.
- Mercedes arbitre : Russell peut profiter du duel McLaren-Red Bull et se glisser au milieu si la piste évolue vite.
Derrière, Bearman pourrait créer la sensation si la fenêtre Haas reste aussi tolérante, tandis que Sauber a de bonnes cartes pour placer au moins une voiture en Q3. Ferrari devra peaufiner sa préparation de tour pour accompagner Leclerc, et permettre à Hamilton de valoriser un potentiel mal exprimé en EL2.
Le paramètre mental et l’exécution sous pression 🧠
La fin de saison à Abou Dhabi n’est jamais qu’une affaire de réglages et d’ingénierie ; c’est aussi une démonstration d’exécution mentale. Les écarts d’un dixième se gagnent souvent en évitant les micro-erreurs, en gardant la voiture « neutre » au bon moment, en choisissant le compromis qui n’est pas le plus spectaculaire mais le plus répétable. Norris a envoyé un signal de confiance. Verstappen, lui, a les ressources pour faire évoluer son pilotage au service d’un tour plus propre, moins sur le fil, et diaboliquement rapide. Russell, prêt, prend ce que la piste donne et ne force pas l’allure – une sage stratégie pour se retrouver au bon endroit, au bon moment.
Dans ce contexte, les jeunes talents ont une belle carte à jouer. Hadjar démontre une montée en puissance sereine, Antonelli apprend vite et fait déjà preuve d’une finesse de lecture des phases de freinage qui augure de belles choses. Bearman, enfin, incarne cet état de grâce où tout se met en place ; s’il conserve sa fraîcheur, il peut faire vaciller des noms installés en qualification.
Conclusion inspirante ✨
À la veille des choses sérieuses, l’EL2 d’Abou Dhabi a livré sa partition : un leader clair avec Norris, un ogre prêt à répondre avec Verstappen, un arbitre nommé Russell, et des révélations capables de bouleverser la grille. La course s’annonce tactique, mais c’est la précision – celle du geste comme celle du choix – qui fera la victoire. Dans la nuit d’Abou Dhabi, la clarté appartient à ceux qui transforment chaque détail en avantage. La vitesse récompense l’audace, mais c’est la maîtrise qui écrit les légendes.
Et puisqu’Abou Dhabi donne des envies de vitesse, qui n’a jamais rêvé d’une McLaren F1 au quotidien ? Grâce au leasing flexible ou à la LOA, ce rêve devient plus proche avec les garanties et l’accompagnement de Joinsteer.














