EL1 Abu Dhabi: Norris coiffe Verstappen de 0,008 s, Piastri absent â duel final sous les projecteurs đ„

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Ă la veille de la grande explication du championnat 2025 de Formule 1, les Essais Libres 1 du Grand Prix dâAbu Dhabi ont livrĂ© un premier verdict saisissantâ: Lando Norris a pris lâascendant sur Max Verstappen de seulement 0,008 seconde. Un Ă©cart minuscule, mais riche de signaux techniques et psychologiques pour la suite du weekâend Ă Yas Marina. Avec Oscar Piastri restĂ© au garage pour laisser son volant Ă Pato OâWard, lâouverture du rideau sâest faite dans une lumiĂšre particuliĂšre, celle dâune saison qui se joue sur des dĂ©tails, des choix de rĂ©glages trĂšs fins et des tours parfaits au bon moment.
Le contexte ajoute Ă la tensionâ: 12 points sĂ©parent Norris et Verstappen avant ce dernier rendezâvous. Ă ce niveau, la moindre microâamĂ©lioration de grip, la moindre mise en tempĂ©rature de pneus rĂ©ussie, la moindre correction dâĂ©quilibre peut peser sur une qualification et basculer un dimanche. Et les EL1 dâAbu Dhabi, malgrĂ© des conditions moins reprĂ©sentatives que la nuit de la qualif et de la course, donnent dĂ©jĂ des indices. Au programmeâ: un McLaren incisif dans le dernier secteur, un Red Bull souverain en secteur 2, et des prĂ©tendants Ă la victoire prĂȘts Ă exploiter la moindre opportunitĂ©.
âïž Duel au sommetâ: Norris vs Verstappen
Le scĂ©nario de la sĂ©ance a dâabord semblĂ© sourire Ă Max Verstappen. Lors du premier passage en pneus tendres, le triple champion du monde a inscrit un tour de rĂ©fĂ©rence que Lando Norris nâa Ă©galĂ© quâĂ sa deuxiĂšme tentative, aprĂšs avoir avortĂ© la premiĂšre Ă cause dâun gros survirage au rapide virage 2. Ce dĂ©tail est crucialâ: le McLaren Ă©tait au bord de lâadhĂ©rence en haute vitesse, ce qui souligne un compromis agressif misant sur lâattaque dans les enchaĂźnements rapides, quitte Ă flirter avec les limites au premier run.
Sur la deuxiĂšme poussĂ©e, Verstappen a signĂ© le meilleur temps absolu du secteur 2, preuve dâun Red Bull trĂšs solide dans la phase mĂ©diane du tour â celle qui combine appuis aĂ©rodynamiques, freinages intermĂ©diaires et traction progressive. Mais Norris a fait la diffĂ©rence au moment dĂ©cisif. Au total, il arrache le meilleur chrono en 1â24\"485, avec un dernier secteur oĂč il reprend 0,128 s Ă la Red Bull. Câest lĂ que McLaren a semblĂ© particuliĂšrement Ă lâaise en motricitĂ©, freinage tardif et stabilitĂ© au frein, autant de points clĂ©s pour les Ă©pingles et les rĂ©accĂ©lĂ©rations sous les projecteurs.
Au fil des simulations de relais, Verstappen a rapportĂ© une sensation inquiĂ©tante, estimant «âquâil y avait peutâĂȘtre quelque chose de cassé⻠sur sa voiture et Ă©voquant un souci qui se manifestait «âpartoutâ». MĂȘme si le diagnostic externe reste prudent, ce type de feedback traduit souvent un dĂ©calage entre lâattendu des rĂ©glages et la rĂ©alitĂ© de la pisteâ: variations du vent, Ă©volution du grip, ou fenĂȘtre de fonctionnement des pneus non optimale peuvent brouiller la lecture. Quoi quâil en soit, Red Bull dispose dâune base de performance solide en secteur 2, tandis que McLaren semble tenir un atout dans le dernier tronçon du tour. La suite se jouera sur lâart de lisser la performance sur lâensemble du tracĂ©.
AuâdelĂ des chronos bruts, lâĂ©lĂ©ment majeur pour la suite rĂ©side dans la capacitĂ© de Norris Ă corriger rapidement un dĂ©sĂ©quilibre Ă haute vitesse (le snap au virage 2) et Ă convertir la deuxiĂšme tentative en tour propre. En fin de saison, la confiance et la rĂ©pĂ©tabilitĂ© comptent autant que les chevaux ou lâappui. Chaque passage millimĂ©trĂ© dans les virages lents, chaque trajectoire optimisĂ©e au cordeau est une piĂšce du puzzle dâun weekâend qui peut dĂ©cider du titre.
đ Ferrari et â Mercedes Ă lâaffĂ»t
Les poursuivants nâont pas manquĂ© le coche. Charles Leclerc sâest glissĂ© au troisiĂšme rang, Ă seulement 0,016 s du temps de Norris. La Ferrari a montrĂ© un bon potentiel sur un tour, mĂȘme si le MonĂ©gasque a connu une frayeur avec un tĂȘteâĂ âqueue au virage 5 en fin de sĂ©ance, avant de se plaindre dâun rythme de long relais «âtrop lentâ». Cette dualitĂ© â vitesse instantanĂ©e solide mais dĂ©gradation ou fenĂȘtre pneus dĂ©licate sur la durĂ©e â est un classique Ă Yas Marina. Le travail de Ferrari dâici EL2 et EL3 consistera Ă stabiliser lâarriĂšre Ă la remise des gaz tout en prĂ©servant lâattaque au frein dans les zones dâappui moyen.
Mercedes, de son cĂŽtĂ©, a placĂ© Kimi Antonelli quatriĂšme et George Russell sixiĂšme, une double prĂ©sence dans le top 6 qui pĂšse dans la lecture du plateau. Antonelli, rĂ©guliĂšrement annoncĂ© comme lâun des talents les plus prometteurs de sa gĂ©nĂ©ration, a livrĂ© une prestation prĂ©cise et sans fiorituresâ: propre au frein, efficace sur les vibreurs, il dĂ©montre une comprĂ©hension rapide de lâadhĂ©rence Ă©volutive Ă Abu Dhabi. Russell, plus discret mais constant, a balisĂ© une base de rĂ©glages intĂ©ressante pour le crĂ©neau de nuit, plus reprĂ©sentatif. La Silver Arrow nâa pas perdu de vue son objectif de maximiser chaque opportunitĂ© stratĂ©giqueâ; un trĂšs bon secteur final et une bonne exploitation des pneus mĂ©diums pourraient donner un levier en Q2 et Q3.
Dans ce groupe dâoutsiders, Sauber sâest insĂ©rĂ©e avec brio. Nico HĂŒlkenberg a signĂ© le cinquiĂšme temps, tandis que Gabriel Bortoleto a pris la septiĂšme place. Un tir groupĂ© utile dans la lutte au championnat constructeurs, oĂč la moindre unitĂ© compte pour la dotation et lâĂ©lan de lâhiver. Leur package a semblĂ© progresser en stabilitĂ© mĂ©canique sur les freinages appuyĂ©s, un point parfois sensible Ă Yas Marina, surtout dans le trafic et en gestion des tempĂ©ratures de freins.
đ Rookies, remplaçants et apprentissage accĂ©lĂ©rĂ©
Les EL1 ont offert un panel inhabituellement riche de pilotes rookies et remplaçants, conformĂ©ment aux obligations de roulage des Ă©quipes. Avec Oscar Piastri laissĂ© au repos, Pato OâWard a pris le volant de la McLaren et sâest classĂ© 14e, Ă 0,761 s du meilleur temps. Objectifâ: apprendre vite, rendre la voiture intacte et accumuler des donnĂ©es propres, notamment sur lâactivation des pneus et la sensibilitĂ© aux rafales.
Ollie Bearman a vĂ©cu une sĂ©ance en deux temps. HuitiĂšme au classement final, il a dâabord signalĂ© une perte de puissance, identifiĂ©e comme une fuite hydraulique. MalgrĂ© un retour en piste et un rythme prometteur â seulement 0,274 s de Norris en gommes mĂ©diums â, le team lui a ordonnĂ© dâimmobiliser la voiture par prĂ©caution. Une frustration qui nâenlĂšve rien Ă la qualitĂ© de son roulage, rĂ©vĂ©latrice dâune capacitĂ© Ă livrer des tours propres sans surconduire, mĂȘme dans un environnement changeant.
Ryo Hirakawa, titularisĂ© pour lâoccasion dans la seconde Haas Ă la place dâEsteban Ocon, sâest invitĂ© 11e, meilleur des pilotes «âEL1âonlyâ». Une performance solide, reflet dâune bonne lecture des points de corde et dâun travail mĂ©thodique en montĂ©e en puissance. Chez Williams, Luke Browning a perdu du temps au garage Ă cause dâun souci radio â incident qui a aussi entraĂźnĂ© un moment dĂ©licat en piste en gĂȘnant Isack Hadjar en fin de secteur â et se classe 18e. Du cĂŽtĂ© dâAston Martin, les remplaçants Jak Crawford et Cian Shields terminent 19e et 20e aprĂšs sâĂȘtre fait une frayeur commune au virage 2â: un rappel que la marge dâerreur est mince lorsque la piste Ă©volue vite et que le trafic est dense.
Le milieu de tableau a Ă©galement Ă©tĂ© animĂ© par les jeunes talents en observation. Arvid Lindblad place la Red Bull au 15e rang, Arthur Leclerc pointe 16e sur la Ferrari, Ayumu Iwasa 17e avec les Racing Bulls. Paul Aron sâinscrit 13e au volant de lâAlpine, tandis que Franco Colapinto, 10e, signe un top 10 prometteur pour la structure française. Ces roulages sont des laboratoires Ă ciel ouvertâ: les Ă©quipes y testent des directions de setâup, mesurent la rĂ©ponse aĂ©rodynamique aux changements de hauteur de caisse, et apprennent des styles de pilotage variĂ©s pour enrichir la corrĂ©lation simulateurâpiste.
đ§ Pneus, rythme de course et rĂ©glagesâ: les clĂ©s de Yas Marina
Ă Abu Dhabi, la lecture des pneus est une science Ă part entiĂšre. La sĂ©ance dâEL1 sâest dĂ©roulĂ©e en conditions plus chaudes et lumineuses que la qualification et la course, prĂ©vues de nuitâ: la fenĂȘtre de fonctionnement des composĂ©s, la tempĂ©rature de la piste et lâĂ©volution du grip rendent les chronos relatifs. MalgrĂ© cela, des tendances Ă©mergent. Le passage au tendre a immĂ©diatement hissĂ© Norris et Verstappen au sommet, mais la maniĂšre diffĂšreâ: Red Bull a montrĂ© un pic de performance trĂšs Ă©levĂ© en secteur 2, souvent corrĂ©lĂ© Ă un bon Ă©quilibre aĂ©rodynamique et une gĂ©nĂ©ration dâappui stable Ă vitesse moyenneâ; McLaren a brillĂ© sur les zones de traction et de freinage tardif du secteur 3, signe dâune voiture efficace dans le maintien de la plateforme, avec une bonne interaction suspensionâaĂ©ro sur les phases transitoires.
Les trains mediums ont livrĂ© dâautres informationsâ: une dĂ©gradation modĂ©rĂ©e mais sensible sur les rĂ©accĂ©lĂ©rations prolongĂ©es, oĂč le patinage Ă la limite peut rapidement faire grimper les tempĂ©ratures de surface. Les meilleures Ă©quipes ont travaillĂ© le liftâandâcoast aux bons endroits pour garder une marge sur les freins tout en Ă©vitant la surchauffe pneus avant la relance. Dans cette optique, la gestion de lâĂ©nergie et la ventilation des freins joueront un rĂŽle critique, surtout en paquet et dans lâair sale des longs relais de course.
Sur le plan des rĂ©glages, plusieurs axes dominentâ: stabiliser lâarriĂšre au virage 2 pour autoriser une attaque confiante sans correction brutale du volantâ; maximiser la motricitĂ© Ă la sortie des Ă©pingles (virages 5 et 7) sans sacrifier la vitesse de pointe sur les longues lignes droitesâ; prĂ©server une direction prĂ©cise dans les enchaĂźnements du dernier secteur, oĂč lâusure de lâavant peut rapidement sâaccumuler si lâĂ©quilibre pique trop. LâEL2, disputĂ©e de nuit, donnera une image plus claire du rythme rĂ©el. Mais les donnĂ©es dâEL1 orientent dĂ©jĂ les Ă©quipes vers des choix de carrossage, de hauteur de caisse et de diffĂ©rentiel qui conditionneront lâusure du dimanche.
đ RĂ©sultats complets des EL1
1. Lando Norris (McLaren) 1â24\"485
2. Max Verstappen (Red Bull) +0,008 s
3. Charles Leclerc (Ferrari) +0,016 s
4. Kimi Antonelli (Mercedes) +0,123 s
5. Nico HĂŒlkenberg (Sauber) +0,144 s
6. George Russell (Mercedes) +0,248 s
7. Gabriel Bortoleto (Sauber) +0,257 s
8. Ollie Bearman (Haas) +0,274 s
9. Carlos Sainz (Williams) +0,286 s
10. Franco Colapinto (Alpine) +0,370 s
11. Ryo Hirakawa (Haas) +0,449 s
12. Isack Hadjar (Racing Bulls) +0,492 s
13. Paul Aron (Alpine) +0,719 s
14. Pato OâWard (McLaren) +0,761 s
15. Arvid Lindblad (Red Bull) +0,771 s
16. Arthur Leclerc (Ferrari) +0,875 s
17. Ayumu Iwasa (Racing Bulls) +0,990 s
18. Luke Browning (Williams) +1,005 s
19. Jak Crawford (Aston Martin) +1,404 s
20. Cian Shields (Aston Martin) +1,947 s
đź Enjeux pour la suite du weekâend
La hiĂ©rarchie dâEL1, si serrĂ©e en tĂȘte, dessine un affrontement de trĂšs haut niveau pour la qualif. McLaren et Red Bull semblent se partager les secteursâ: avantage Red Bull au cĆur du tour, avantage McLaren Ă la conclusion. Cela mettra lâaccent sur la capacitĂ© Ă lancer les pneus dans la bonne fenĂȘtre dĂšs la sortie des stands, Ă nĂ©gocier le trafic et Ă garder assez dâĂ©nergie batterie pour le dernier secteur. La pole pourrait se jouer Ă la marge, comme Ă lâancienneâ: freinage au panneau parfait, corde juste effleurĂ©e, relance sans patinage. Leclerc nâest pas loin, et une Ferrari qui rĂ©ussit Ă stabiliser son rythme de longs relais pourrait compliquer la vie des deux grands rivaux.
Mercedes a de bonnes cartes Ă poser, surtout si lâĂ©quipe convertit la propretĂ© dâAntonelli et la rĂ©gularitĂ© de Russell en corrĂ©lations utiles pour lâEL2 de nuit. Sauber, forte de son double top 10, peut viser des points stratĂ©giques en cas de qualif propre et de gestion pneus calibrĂ©e, notamment avec un undercut potentiellement puissant si la dĂ©gradation monte. Enfin, le contingent des rookies aura un rĂŽle subtil mais rĂ©elâ: leurs tours propres et leurs retours de sensations sur lâadhĂ©rence aideront Ă ajuster la cartographie dâengagement des pneus et les pressions, prĂ©cieux pour les titulaires au moment dĂ©cisif.
Au regard du championnat, chaque dĂ©tail compte. Norris a frappĂ© le premier, Verstappen sait mieux que quiconque convertir lâobservation en exĂ©cution. Les enseignements clĂ©sâ: sĂ©curiser lâarriĂšre Ă haute vitesse, optimiser la traction dans les zones lentes, et prĂ©server la capacitĂ© de freiner tard sans mordre sur la survie des pneus avant. La direction technique et les ingĂ©nieurs de performance joueront ce soir une partie dâĂ©checs, alignant corrĂ©lation simulateur, lecture des datas et retours pilotes pour affiner lâarme ultime de la qualif.
Le suspense est totalâ: si vous aimez la prĂ©cision chirurgicale et les duels Ă la centiĂšme, Abu Dhabi 2025 promet un final incandescent, oĂč la maĂźtrise du dĂ©tail fera la diffĂ©rence entre la gloire et les regrets.
Sous les projecteurs de Yas Marina, chaque tour est une promesseâ: oser, affiner, et repousser la limite â parce que les titres se gagnent lĂ oĂč le courage rencontre la perfection.
Et si ce duel vous donne des envies de volant, rappelezâvous quâune McLaren F1 reste un rĂȘve automobile Ă portĂ©e plus rĂ©elle via une LOA/LLD bien pensĂ©e. Pour explorer des offres souples et garanties, voyez Joinsteer.














