Max Verstappen accélère vers la GT3 en 2026 : Mercedes en ligne de mire et défi Nürburgring 💥

Max Verstappen et le virage GT3 en 2026 : Mercedes, Nordschleife et un calendrier sous haute tension ⚡️
À peine la saison de Formule 1 bouclée, Max Verstappen replonge déjà dans l’adrénaline de la compétition. Cette fois, cap sur la GT3. Après avoir validé son permis DMSB pour la Nordschleife à l’automne et remporté une course GT3 sur l’enfer vert, le champion néerlandais remet le couvert à Estoril avec une Mercedes-AMG GT3 opérée par 2Seas Motorsport. Entre préparation hivernale, pistes concrètes pour 2026 et interrogation stratégique autour des 24 Heures du Nürburgring, le puzzle se met en place.
Ce qui se joue ici n’est pas seulement un « extra » pour le plaisir. C’est une vision à moyen terme où Verstappen.com Racing pourrait évoluer d’un programme d’apprentissage à une campagne GT3 ambitieuse, potentiellement au plus haut niveau. Tout cela dans un contexte 2026 lourd pour la F1, avec un règlement remanié et le passage à la motorisation Ford-Red Bull. Décryptage.
Retour en piste dès l’hiver : Estoril, Mercedes-AMG et méthode Verstappen ❄️🏁
À peine devenu père et malgré une intersaison F1 chargée, Verstappen choisit d’entretenir sa dynamique en GT3. Le cadre : Estoril, au Portugal. La monture : une Mercedes-AMG GT3 exploitée par 2Seas Motorsport. Deux autos, portant les numéros 33 et 333, sont signalées en piste. Cette séance n’est pas une simple prise de contact : elle réunit également Jules Gounon, pilote usine Mercedes-AMG, référence absolue de la catégorie, vainqueur de la GT World Challenge Europe et des 24 Heures de Spa.
La présence de Gounon sert de fil rouge technique. Elle offre à Verstappen une base de comparaison de haut niveau pour exploiter la fenêtre de performance de l’AMG GT3 : gestion du train avant au freinage, stabilité sur les transferts de masses, traction en fin de virage, et surtout, lecture du pneu Pirelli sur un run long – autant d’éléments déterminants pour une course d’endurance. Cette collaboration donne aussi le ton d’une éventuelle montée en gamme pour l’écurie associée à Verstappen.
Ce roulage hivernal vient s’ajouter à une année où le Néerlandais a multiplié les expériences. Outre la F1 (RB21), il a piloté une Porsche 718 Cayman GT4 CS, une Ferrari 296 GT3 et une Aston Martin Vantage AMR GT3. Une diversité qui nourrit son bagage GT : adaptation à des architectures moteur variées, styles d’appuis aéro différents, et calibration de l’ABS/TC selon les philosophies constructeur. Loin d’être un simple « hobby », ce parcours trace la trajectoire d’un programme réfléchi.
Verstappen.com Racing en 2026 : vers un package Mercedes-AMG et la montée en Pro ? 🧩
2Seas Motorsport n’est pas un nom inconnu dans l’écosystème de Verstappen. Basée près de Silverstone, la structure arbore le drapeau bahreïni et a mené une Aston Martin Vantage AMR GT3 au titre en Gold Cup en GT World Challenge Europe Endurance Cup, avec Chris Lulham (pilote sim issu du team Redline de Verstappen) et Thierry Vermeulen (fils du manager de Verstappen). Les connexions existent donc déjà, tant sur la technique que sur le management et le vivier de pilotes.
À l’heure où tout converge vers un passage à Mercedes-AMG, un scénario se dessine : basculer du programme Aston Martin vers un écosystème Mercedes, avec une ambition revue à la hausse. Une montée en catégorie Pro est tout sauf farfelue si l’on considère l’intérêt de s’aligner avec un pilote usine tel que Gounon aux côtés de Lulham et Vermeulen. Une telle combinaison placerait l’auto directement en Pro, face aux top teams européens, sur des classiques comme Monza, Paul Ricard 1000 km, Spa 24 Heures et le Nürburgring via les séries de préparation adéquates.
Le nom de Daniel Juncadella a également circulé. Pilote à l’aise en GT3 et engagé sur des programmes Hypercar, il connaît intimement les exigences d’endurance et les livrables techniques attendus par un constructeur. Que la composition exacte soit Lulham–Vermeulen–Gounon, avec une rotation possible ou l’apport ponctuel de Juncadella, l’idée clé tient à la crédibilité instantanée d’un package Mercedes-AMG GT3 bien outillé. À ce niveau, l’ingénierie de setup, l’efficience des ravitaillements et la stabilité des relais font souvent la différence au-delà du pur rythme.
Sur le plan opérationnel, un engagement Pro implique une rigueur managériale accrue : plan de tests structuré, préparation des ingénieurs à la lecture live des pressions et températures, corrélation sim–piste, et surtout redistribution claire des rôles entre pilotes sur l’ensemble de la saison. Verstappen.com Racing, fort de son réseau et d’une culture performance héritée de la F1, a la boîte à outils pour élever le niveau, à condition de verrouiller tôt les choix techniques et calendaires.
Objectif Nürburgring 24 Heures : permis Nordschleife, choix de la voiture et timing ⛰️⏱️
Le passage de Max Verstappen par la Nordschleife n’est pas anodin. En obtenant le permis DMSB indispensable aux GT3 sur ce circuit unique, il s’est ouvert les portes des 24 Heures du Nürburgring. L’édition 2026 est programmée mi-mai (16–17), sans conflit direct avec un Grand Prix de F1. C’est une fenêtre rare dans un calendrier d’élite, mais qui n’enlève rien à la complexité logistique de l’entreprise.
Des bruits de paddock ont évoqué l’option d’une Porsche 911 GT3 R pour la Nordschleife. L’argument principal : viser la victoire impose de s’entourer d’un roster de pilotes d’usine ou équivalents, rompus aux pièges de l’Eifel – trafic multi-classes, météo capricieuse, nuit à pleine charge et gestion de la moindre crevaison lente. Verstappen a déjà montré qu’il pouvait dissocier le programme d’équipe et sa propre monture ponctuelle : il a remporté une course en Ferrari 296 GT3, alors même que l’écurie alignait une Aston Martin Vantage AMR GT3 sur d’autres fronts. Il n’est donc pas prisonnier d’un seul constructeur pour atteindre un objectif précis.
Mais un autre scénario reste crédible : repousser le baptême des 24 Heures du Nürburgring pour prioriser l’énorme chantier F1 2026. L’équation est simple : une nouvelle réglementation technique, un partenariat moteur réorganisé, des adversaires aux cartes rebattues… Tout cela réclame une implication à 360°. Dans ce contexte, privilégier une saison GT3 à dominante européenne – GT World Challenge en tête – sans ajouter la charge spécifique du Nürburgring 24 Heures peut apparaître comme un arbitrage rationnel.
Quel que soit le choix final, l’enjeu sportif reste excitant. La Nordschleife magnifie les qualités de pilotage de Verstappen : lecture des compressions, précision dans le trafic, agressivité contrôlée aux freinages en appui, et utilisation intelligente de l’ABS pour préserver le pneu sur long relais. Avec un équipage calibré, l’objectif podium, voire victoire, n’a rien de fantasque. Sans confirmation publique à ce stade, la porte demeure ouverte – et la prudence stratégique, compréhensible.
La grande équation 2026 : nouvelles règles F1, moteur Ford-Red Bull et arbitrages de carrière 🔧📅
La saison 2026 s’annonce comme un reset compétitif majeur. Du côté de Red Bull, l’association avec Ford se matérialise dans un cadre réglementaire inédit. À la clé : un flux de développement intense, des validations bancs/PU qui s’enchaînent, et une montée en puissance progressive qu’il faudra accompagner par du roulage, du simulateur et un feedback d’élite.
Pour un quadruple champion du monde, les arbitrages se font au millimètre. Le moindre week-end hors F1 doit servir la performance globale, pas la pénaliser. La GT3 est un fabuleux laboratoire de sensations – freinages longs, masses plus élevées, équilibre mécanique fin – mais elle exige, à son plus haut niveau, une implication méthodique : compréhension des nuances d’ABS et de contrôle de traction, paramétrage des amortisseurs, lecture fine des pressions de pneus et gestion du trafic multiclasses. L’enjeu, en 2026, sera de préserver l’efficacité en F1 tout en profitant des bénéfices de la GT3.
Résultat : deux voies cohérentes existent. Première voie, offensive GT3 complète en Pro, avec un nombre de roulages suffisant pour chercher des gros résultats en Europe. Deuxième voie, plus sélective, axée sur des apparitions ciblées à forte valeur ajoutée (tests, courses clé, préparation Nordschleife), tout en gardant la F1 comme fil directeur absolu. Dans les deux cas, la clé du succès passe par une planification implacable.
Pourquoi la GT attire un champion F1 : sensations, technique et bénéfices croisés 🎯
La GT3 offre un terrain de jeu où l’on croise technique de pointe et pilotage instinctif. Comparée à la F1, la fenêtre d’exploitation est différente : moins d’appui aéro, davantage de poids, un travail du pneu où la mise en température et la gestion de la dégradation priment. Pour Verstappen, c’est un moyen de nourrir ses compétences dans le trafic, de perfectionner la lecture des espaces et de travailler sur des relais longs rythmés par l’usure mécanique et la consommation.
Les bénéfices sont multiples. La cohabitation avec d’autres catégories habitue le pilote à anticiper et à communiquer efficacement avec le stand. Les doubles et triples relais à niveau de risque élevé renforcent la discipline et la lucidité, qualités cardinales d’un champion en quête d’excellence durable. Enfin, l’environnement GT3 permet de se confronter à d’autres philosophies de châssis et moteurs, élargissant le spectre de sensations qui, une fois transposées, affinera le ressenti en F1.
Il existe aussi une dimension humaine et culturelle. La proximité avec des pilotes issus du sim racing, comme Lulham, prolonge un lien cher à Verstappen, qui a souvent valorisé l’e-sport comme vivier de talents et de méthodes. C’est l’occasion d’enrichir l’écosystème Verstappen.com Racing par un mix de profils : jeunes véloces, pilotes usine aguerris, ingénieurs capables de traduire le langage du pilote en gains de performance concrets.
Scénarios probables et calendrier clé 2025–2026 📌
À court terme, l’hiver sert de banc d’essai. Estoril trace la direction : comprendre la Mercedes-AMG GT3 avec l’appui d’un spécialiste, valider des bases de setup et définir un pool de pilotes. Si l’option Mercedes se confirme pour 2026, la feuille de route logique inclut des blocs de tests, des courses de préparation et une montée de curseur progressive vers les rendez-vous phares du GT World Challenge Europe.
Au printemps, le choix du Nürburgring 24 Heures sera décisif. La fenêtre calendaire, théoriquement favorable, devra être examinée au prisme de la charge F1. Une participation impliquerait la sélection d’un constructeur et d’un équipage ultra-compétitif, le déploiement d’un plan météo et d’une logistique robuste (pièces, stratégie de pneus, procédures safety car/slow zones). À l’inverse, un report calculé préserverait le capital énergie pour la bascule vers la F1 2026.
En parallèle, la consolidation du duo équipe–constructeur est stratégique. La cohérence technique, la disponibilité des pièces, le support usine et la qualité des datas conditionnent la constance de performance en endurance. Si 2Seas Motorsport constitue la base opérationnelle, l’alignement des objectifs, la stabilité des ingénieurs et la préparation au moindre détail feront la différence. L’ultime objectif : arriver aux 24 Heures de Spa et aux grandes manches Endurance avec un niveau de préparation digne des meilleures structures Pro.
Enfin, la communication devra rester mesurée. Sans confirmation publique, les rumeurs ont vocation à évoluer. Ce qui transparaît néanmoins, c’est la volonté de garder toutes les portes ouvertes pour maximiser les performances, avec un prisme clair : la F1 en priorité, la GT3 comme accélérateur de sensations, de technique et de plaisir – un équilibre finement dosé.
Ce que signifie « gagner » en GT3 pour Verstappen : méthode, constance et intelligence de course 🧠🏆
La victoire en GT3 se construit rarement sur la seule vitesse pure. Elle exige une méthodologie rigoureuse : verrouiller l’exploitation des pneus sur des fenêtres de pression réalistes, anticiper l’évolution de la piste, gérer les neutralisations et optimiser chaque ravitaillement. Pour Verstappen, ces paramètres entrent en résonance avec sa signature de pilotage : agressif quand il faut l’être, patient quand les circonstances l’imposent, précis au moment de délivrer la différence en fin de relais.
Le choix des équipiers est tout aussi déterminant. Associer un pilote usine très expérimenté à des talents rapides et disciplinés garantit un niveau plancher élevé pendant 24 heures. Cela réduit le risque d’écart de rythme trop marqué entre relais, limite les erreurs sous pression et permet de jouer la victoire sur la stratégie, pas seulement sur le tour lancé. La dimension mentale – garder la lucidité à 3 h du matin sous la pluie de l’Eifel, par exemple – compte autant que le pur pilotage.
Dans cette optique, la méthode Verstappen a déjà montré qu’elle pouvait s’exporter : immersion rapide, appropriation technique d’une auto, focalisation sur les détails qui font la différence (zones de freinage clés, gestion de l’adhérence en courbe rapide, lecture du trafic). Ajoutez à cela une équipe qui apprend vite et un support constructeur solide, et vous obtenez une base crédible pour viser très haut.
Conclusion – La question n’est plus de savoir si Max Verstappen trouvera sa place en GT3, mais comment il orchestrera ce défi pour magnifier sa trajectoire en F1 tout en nourrissant sa passion pour l’endurance. Qu’il choisisse la voie Mercedes-AMG avec 2Seas, qu’il cible le Nürburgring 24 Heures immédiatement ou qu’il temporise pour 2026, l’intention est claire : bâtir quelque chose de durable, performant et inspirant.
Au bout de la ligne droite, une vérité demeure : quand talent, méthode et passion se rencontrent, la route s’ouvre – et les sommets deviennent possibles. ✨
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