Formula E 2025-26 : notre classement des line-ups du pire au meilleur đ

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Formula E 2025-26 : notre classement des line-ups du pire au meilleur đ
La nouvelle saison de Formula E sâouvre au BrĂ©sil avec un plateau lĂ©gĂšrement rĂ©duit mais incroyablement relevĂ©. Les Ă©curies ont profondĂ©ment remaniĂ© leurs duos, et la grille aligne un mĂ©lange rare dâanciens champions, de vainqueurs confirmĂ©s et de rookies ambitieux. Dans un championnat oĂč lâefficacitĂ© Ă©nergĂ©tique, la gestion du peloton et la prĂ©cision stratĂ©gique font la diffĂ©rence, la valeur dâune paire de pilotes peut transformer une monoplace solide en machine Ă podiums.
Voici notre classement des line-ups 2025-26, du pire au meilleur, et ce quâils disent de la bataille Ă venir dans la derniĂšre annĂ©e du cycle Gen3.

Contexte 2025-26 âĄ
Le plateau 2025-26 affiche une densitĂ© de talent rareâ: une majoritĂ© de pilotes sont dĂ©jĂ montĂ©s sur la plus haute marche du podium et prĂšs dâune dizaine ont dĂ©crochĂ© une couronne dans leur carriĂšre, Formula E incluse. La disparition de McLaren comme structure Ă part entiĂšre laisse une place vacante, mais les transferts lâont rapidement compensĂ©e. CitroĂ«n reprend le flambeau dâune structure ambitieuse, Jaguar conserve sa stature dâĂ©pouvantail, Nissan arrive avec un champion en titre Ă dĂ©fendre, et plusieurs Ă©curies ont misĂ© sur des rĂ©vĂ©lations ou des retours pleins de promesses.
Trois rookies ou quasi-rookies retiennent lâattentionâ: Felipe Drugovich (Andretti), Joel Eriksson (Envision) et Pepe MartĂ (Cupra Kiro). Tous nâarrivent pas avec le mĂȘme bagage de tests ou dâexpĂ©rience du «âpack racingâ» si particulier Ă la FE, mais chacun apporte un profil intĂ©ressant. Autre grande histoireâ: la recomposition des duos leaders avec des combinaisons Ă trĂšs fort potentiel, comme Evans/da Costa chez Jaguar ou Cassidy/Vergne chez CitroĂ«n. Ă la clĂ©â? Une lutte pour le titre pilotes qui sâannonce plus ouverte que jamais.
MĂ©thodologie du classement đ§
Ce classement Ă©value uniquement la valeur intrinsĂšque des paires de pilotes et leur dynamique sportive. Il ne tient pas compte de la qualitĂ© supposĂ©e de la voiture, de la stratĂ©gie dâĂ©quipe ou du niveau des ingĂ©nieries. Les critĂšres principauxâ:
- Expérience spécifique en Formula E, notamment en Gen3/Gen3 Evo.
- RĂ©gularitĂ© en course et intelligence Ă©nergĂ©tique (gestion de lâattaque et du lift-and-coast).
- Vitesse pure en qualifications et capacitĂ© Ă maximiser une fenĂȘtre de performance courte.
- Synergie du duoâ: complĂ©mentaritĂ© des styles, leadership, rĂ©silience le jour J.
- Potentiel de progression, notamment pour les rookies, et capacité à performer sous pression.
Avec ces facteurs en tĂȘte, passons du pire au meilleur line-up et aux grandes forces/faiblesses de chacun.
Classement du pire au meilleur đ
10) Lola-Yamaha Abt â Lucas di Grassi / Zane Maloney

Sans surprise, ce duo ferme la marche. Lucas di Grassi reste une rĂ©fĂ©rence en expĂ©rience, en science de course et en sens de lâĂ©nergieâ: il sait faire durer le pourcentage critique quand la meute sâemballe. On a mĂȘme aperçu lâan dernier des lueurs dâun second souffle. Mais lâensemble manque encore de constance et de vitesse absolue au regard des cadors du plateau.
Zane Maloney doit franchir un cap. Son apprentissage a Ă©tĂ© rude, souvent sans Ă©clat notable, dans un contexte technique dĂ©licat. Le talent brut ne fait pas dĂ©faut, mais la FE exige une acclimatation rapide aux courses en peloton et Ă la gestion fine des modes dâattaque. 2025-26 ressemble Ă une saison charniĂšreâ: soit il se met au niveau de son Ă©quipier, soit lâĂ©cart sâinstalle durablement. Verdictâ: un projet en devenir, encore trop tendre pour viser plus haut.
9) Envision â SĂ©bastien Buemi / Joel Eriksson

Avec Buemi, Envision dispose dâune valeur sĂ»reâ: expĂ©rience, maĂźtrise de la procĂ©dure, soliditĂ© mentale et un bagage dâoptimisations clefs sur le Gen3 Evo. Le challenge se situe du cĂŽtĂ© dâEriksson. Bien quâil ait dĂ©jĂ connu lâenvironnement FE (rĂ©serve, piges, demi-saison passĂ©e), le dĂ©ficit de rythme en joutes de peloton et la nĂ©cessitĂ© de performer dĂšs les premiĂšres courses peuvent peser. Lâensemble a du potentiel si Eriksson sâajuste vite aux subtilitĂ©s de la catĂ©gorie (tempĂ©ratures pneus, fenĂȘtres dâattaque, efficience), mais en lâĂ©tat, la paire manque dâexplosivitĂ© face aux blocs supĂ©rieurs. Objectif raisonnableâ: un milieu de tableau avec des pics opportunistes.
8) Cupra Kiro â Dan Ticktum / Pepe MartĂ

Dan Ticktum a enfin transformĂ© un potentiel longtemps en friche en un niveau de performance tangible. Sa vitesse de pointe est incontestable, son agressivitĂ© mieux canalisĂ©e, et son sens de lâattaque en fait lâun des animateurs les plus spectaculaires. Reste Ă convertir plus systĂ©matiquement les opportunitĂ©s en gros points, surtout lors des finales de course oĂč lâĂ©conomie dâĂ©nergie et la lecture du peloton priment.
Pepe MartĂ, arrivĂ© tard dans les discussions, dĂ©couvre un univers technique trĂšs spĂ©cifique. Lâabsence relative dâessais comparĂ©e Ă certains rookies dâĂ©lite peut se voir sur les premiĂšres manches. Sâil suit le tempo de Ticktum et monte rapidement en justesse Ă©nergĂ©tique, Cupra Kiro pourrait se glisser rĂ©guliĂšrement en super pole et marquer des points solides. Mais lâalchimie dĂ©pendra beaucoup de la courbe dâapprentissage de MartĂ.
7) Andretti â Jake Dennis / Felipe Drugovich

Sur le papier, câest un trĂšs beau duo. Jake Dennis demeure lâun des metronefs de la grilleâ: prĂ©cision chirurgicale, contrĂŽle du rythme et capacitĂ© Ă exĂ©cuter des courses impeccables quand la fenĂȘtre de performance sâouvre. Les deux derniĂšres saisons ont Ă©tĂ© plus irrĂ©guliĂšres que son annĂ©e de sacre, mais sa pointe demeure redoutable.
Felipe Drugovich, quant Ă lui, a laissĂ© entrevoir une adaptation Ă©tonnamment rapide lors de ses apparitions. Son bagage de pilotage propre et son intelligence de course devraient lâaider Ă dompter les rĂšgles subtiles de la FE. Sâil sâaligne vite au niveau de Dennis, Andretti pourrait enfin jouer «âĂ deux voituresâ» chaque week-end. Le bĂ©molâ: la FE sanctionne les erreurs de lecture Ă©nergĂ©tique, et lâintĂ©gration totale peut demander quelques courses. Potentiel Ă©levĂ©, constance Ă bĂątir.
6) Mahindra â Nyck de Vries / Edoardo Mortara

Une paire expĂ©rimentĂ©e, trĂšs Ă©quilibrĂ©e et solide mentalement. Nyck de Vries a retrouvĂ© par sĂ©quences lâintensitĂ© de sa pĂ©riode la plus brillante, mĂȘme si certaines manĆuvres offensives restent parfois trop optimistes dans le trafic serrĂ©. Edoardo Mortara, lui, continue de capitaliser sur une lecture fine des temps forts, avec une propretĂ© apprĂ©ciable dans la gestion des phases critiques.
Ce duo a rarement de trous dâair sur un week-end completâ: la qualification est gĂ©nĂ©ralement propre, la course souvent mĂ©thodique, et lâun comme lâautre sait «âramenerâ» des points quand tout se complique. Pour franchir un cap, il leur faudra transformer davantage dâopportunitĂ©s en podiums et rĂ©duire la frĂ©quence des incidents de course. Mais en matiĂšre de fiabilitĂ© sportive, peu dâĂ©quipes font mieux.
5) Nissan â Oliver Rowland / Norman Nato

Oliver Rowland sort dâune campagne Ă©tincelante, symbole dâune maturitĂ© tactique et dâune agressivitĂ© enfin parfaitement calibrĂ©e. Quand Rowland est dans sa zone, il impose un tempo difficile Ă suivre, autant en qualif quâen gestion Ă©nergĂ©tique. Câest lâaimant performance de ce duo. Norman Nato, en revanche, reste plus Ă©nigmatique. Capable de coups dâĂ©clat, il a connu des phases moins convaincantes et devra montrer davantage de rĂ©gularitĂ© face Ă un leader aussi fort.
Si Nato hausse son niveau moyen et capitalise dÚs les premiÚres manches, Nissan peut viser trÚs haut au classement par équipes. Sans cela, la balance risque de peser trop du cÎté de Rowland, limitant le total de points cumulés sur les doubles rendez-vous clés.
4) Porsche â Pascal Wehrlein / Nico MĂŒller

Pascal Wehrlein reste une rĂ©fĂ©rence absolue de la catĂ©gorieâ: vitesse de pointe, capacitĂ© Ă verrouiller des qualifs dĂ©cisives, et luciditĂ© stratĂ©gique dans le trafic. La question, câest lâadĂ©quation de Nico MĂŒller dans ce rĂŽle de co-pilote usine, aprĂšs des saisons contrastĂ©es ailleurs. Son annĂ©e rĂ©fĂ©rence, impressionnante, a montrĂ© sa pointe de vitesse et sa science de lâattaque. Ă lâinverse, une campagne plus terne a mis en lumiĂšre des erreurs coĂ»teuses.
La vĂ©ritĂ© se situe probablement au milieuâ: MĂŒller connaĂźt la philosophie Porsche et peut nettoyer ses imprĂ©cisions. Si lâalignement technique et humain se fait rapidement, lâAllemand et le Suisse peuvent faire trĂšs mal Ă la concurrence, surtout sur les tracĂ©s oĂč la super pole joue un rĂŽle majeur. Lâenjeuâ: transformer le talent en constance, semaine aprĂšs semaine.
3) DS Penske â Maximilian GĂŒnther / Taylor Barnard

Deux trajectoires ascendantes qui se complĂštent. Maximilian GĂŒnther, travailleur acharnĂ©, aligne une vitesse pure de trĂšs haut niveau. Quand tout sâimbrique, il est intouchable et sait faire basculer un week-end sur une sĂ©quence qualif-course parfaite. Sa marge de progression rĂ©side dans la rĂ©duction de petites oscillations dâun ePrix Ă lâautre.
Taylor Barnard sâest imposĂ© comme la sensation de la jeune gĂ©nĂ©ration. Sa modulation du rythme, sa comprĂ©hension rapide du peloton FE et sa fraĂźcheur mentale donnent lâimpression dâun pilote dĂ©jĂ mĂ»r. Le seul bĂ©mol raisonnableâ: lâabsence dâun vĂ©cu long dans une lutte au titre, mais sa courbe dâapprentissage est telle quâil pourrait effacer ce dĂ©ficit trĂšs vite. Ensemble, ils forment un duo explosifâ: vitesse, audace, intelligence Ă©nergĂ©tique. Redoutable.
2) Jaguar â Mitch Evans / AntĂłnio FĂ©lix da Costa

La combinaison du talent brut dâEvans et de lâexpĂ©rience titrĂ©e de da Costa a tout dâune association gagnante. Mitch Evans est lâun des meilleurs finisseurs du plateauâ: agressif, propre et diablement efficace dans les batailles serrĂ©es. AntĂłnio FĂ©lix da Costa, de son cĂŽtĂ©, apporte une profondeur stratĂ©gique et une maĂźtrise des timing dâattaque qui peuvent sâavĂ©rer dĂ©cisifs dans les derniers tours.
Le principal sujetâ: la phase dâadaptation de da Costa Ă la culture technique et Ă la philosophie de pilotage de Jaguar. Si lâosmose se fait vite, Jaguar aura un duo pratiquement sans faille, capable de marquer gros sur chaque rendez-vous du calendrier. Leur challenge historiqueâ: convertir la vitesse en titres, en Ă©vitant les petites dĂ©cisions coĂ»teuses dans les moments chauds dâune campagne longue et dense.
1) CitroĂ«n â Nick Cassidy / Jean-Ăric Vergne

Câest, Ă nos yeux, la paire la plus complĂšte du plateau. Nick Cassidy possĂšde une vitesse de rĂ©fĂ©rence en Gen3â: incisif, calculateur, incroyablement rĂ©gulier quand la voiture lui parle, il semble constamment sur le fil optimal entre attaque et efficience. Jean-Ăric Vergne, de son cĂŽtĂ©, reste lâĂ©talon de la gestion en courseâ: lecture exceptionnelle des phases de peloton, science des dĂ©passements Ă©conomes et sens tactique aiguisĂ©.
Ensemble, ils cochent toutes les casesâ: capacitĂ© Ă verrouiller la super pole, qualitĂ© de dĂ©part, anticipation des vagues dâattaque, maĂźtrise de lâĂ©nergie, et leadership partagĂ©. Si lâenvironnement technique leur offre une base stable, la constance de points Ă©levĂ©s et le contrĂŽle Ă©motionnel en fin dâePrix peuvent faire la diffĂ©rence pour un double objectifâ: titres pilotes et Ă©quipes. La synergie potentielle est Ă©norme.
Tendances et batailles clĂ©s Ă surveiller đź
Au-delĂ de la hiĂ©rarchie initiale, plusieurs axes stratĂ©giques dĂ©finiront la saisonâ:
- Rookies et adaptation accĂ©lĂ©rĂ©eâ: Drugovich et MartĂ doivent assimiler trĂšs vite les micro-compĂ©tences FE (tempĂ©ratures, rĂ©accĂ©lĂ©rations, usage des modes dâattaque, lecture des pelotons Ă trĂšs faible delta dâĂ©nergie). Eriksson, dĂ©jĂ familier de lâenvironnement, gagnera Ă convertir ce bagage en rĂ©sultats constants.
- Qualif vs courseâ: Les formats FE sanctionnent lâirrĂ©gularitĂ©. Les duos qui combinent une super pole frĂ©quentĂ©e Ă une gestion froide de lâĂ©nergie (Jaguar, CitroĂ«n, DS Penske) partiront avec une longueur dâavance.
- Leadership clairâ: Certaines Ă©quipes devront clarifier rapidement qui mĂšne le projet en piste si le niveau des deux pilotes est proche. Un leadership ambigu peut coĂ»ter cher dans les moments charniĂšres (appels de stratĂ©gie, ordre de passage, split dâattaques).
- DerniĂšre annĂ©e Gen3â: Dans un cadre technique stabilisĂ©, lâexĂ©cution prime. Les erreurs de micro-gestion (perte du pack, activation inefficace, freinages Ă la limite) se paieront cash face Ă des duos aussi complets que ceux de CitroĂ«n, Jaguar ou DS Penske.
- Gestion du «âpeloton FEâ»â: La FE nâest pas une sĂ©rie de chronos isolĂ©s. Savoir rester dans lâaspiration sans surchauffer, improviser au tour prĂšs, et garder une marge dâĂ©nergie sur les deux derniers tours, fait souvent basculer un top 8 en podium.
Ă surveiller Ă©galementâ: la montĂ©e en puissance de paires hybrides (un leader installĂ© + un coĂ©quipier en progression rapide). Nissan (Rowland/Nato) et Porsche (Wehrlein/MĂŒller) peuvent devenir des rouleaux compressurs si leur second pilote stabilise sa production de points. Enfin, Mahindra (De Vries/Mortara) constitue la valeur refugeâ: moins spectaculaire, mais durablement dangereuse sur les tracĂ©s techniques.
Focus images : moments et visages de la saison đž
Quelques instantanĂ©s du plateau 2025-26, pour donner un visage Ă cette hiĂ©rarchieâ:









Pronostics et clĂ©s de rĂ©ussite đ
En candidats au titre pilotes, trois profils dominentâ: Nick Cassidy, Mitch Evans et Maximilian GĂŒnther, avec une vraie carte pour Pascal Wehrlein si Porsche trouve la linĂ©aritĂ© qui lui a parfois manquĂ©. CĂŽtĂ© Ă©quipes, CitroĂ«n possĂšde lâADN dâune machine Ă points, Jaguar reste le mĂštre Ă©talon, DS Penske a la fulgurance pour dĂ©stabiliser les deux. Juste derriĂšre, Nissan et Porsche sont des aspirants sĂ©rieux si leur «ânumĂ©ro 2â» stabilise son apport.
Les facteurs de basculeâ:
- La gestion des «âneutralisations naturellesâ» du peloton FEâ: savoir quand sacrifier un demi-point dâefficience pour rester enfermĂ© dans la bonne aspiration.
- La qualitĂ© de la relance aprĂšs activation des modes dâattaqueâ: perdre deux positions peut coĂ»ter trois tours de prĂ©paration Ă©nergĂ©tique.
- La robustesse mentale sur les doubles manchesâ: le dimanche rĂ©compense surtout ceux qui corrigent vite les micro-erreurs du samedi.
- Lâart de la super poleâ: sur certains tracĂ©s, une premiĂšre ligne simplifie la vie Ă©nergĂ©tique et ouvre des fenĂȘtres de contrĂŽle de course.
Ă la veille du dĂ©part au BrĂ©sil, la grille 2025-26 promet une dramaturgie Ă la hauteur de son talent. Les duos de tĂȘte sont tellement denses que les diffĂ©rences se feront au dixiĂšme, au pourcentage dâĂ©nergie et au moment choisi pour appuyer â ou lever â le pied.
Dernier tour âš
Au cĆur de la Formula E, la vitesse nâest quâun dĂ©butâ: câest la maĂźtrise de lâinstant qui sacre les champions. Cette saison, les meilleurs duos ne seront pas seulement ceux qui iront vite, mais ceux qui sauront dĂ©cider mieux, plus tĂŽt, ensemble. Alors, que le courant passe, que lâaudace sâexprime et que lâinspiration vous guide jusquâau drapeau Ă damier.
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